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Linaild Sombrebourg
Linaild Sombrebourg
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[Mission accomplie] Les terres elfiques en flammes Empty [Mission accomplie] Les terres elfiques en flammes

Sam 21 Juil - 17:46
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

[Mission accomplie] Les terres elfiques en flammes Unknown

Vingt-sixième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"La guerre, imperturbable, sinistre, atroce. La guerre était venue à nous à une vitesse effrayante et cet aspect inattendu qui nous boulversa tous alors que nos pensées étaient orientés vers des campagnes plus simples depuis que les horreurs des Hinterlands nous laissèrent un goût amer au fond de la gorge de nombreux camarades tombés au combat. La mission des Carmines, malgré les pertes civils difficiles à gérer, avait l'air tout de même d'une balade amicale face à ce qui nous tombait dessus. Après la fête, après le goût de la victoire, apparaissait l'urgence et la panique. Les morts jonchaient le sol en nombre, tant ceux ci pesèrent sur la conscience des nôtres quand le spectacle lointain fut devant nos yeux. Mais delà, j'ai été convoqué rapidement au Donjon de Hurlevent par les officiers de l'état-major dirigeant généralement nos missions pour nous remettre une mobilisation d'extrême urgence entres les mains. Il n'était pas question de se défilé ou de laisser du repos à nos camarades, ça non. Il fallait réagir en vitesse et avec force, mais le temps était ce qui jouait le plus contre des stratégies et des renforts – Comment préparer une tactique si l'ennemi à déjà tant progresser qu'elle disparait du jour au lendemain ? Les nouvelles étaient si mauvaise que c'était la raison de notre rapide mobilisation, en tant que force d'intervention "rapide", ils escomptaient croire que les capacités de Telogrus pouvait permettre de réussir quelque chose. Il ne s'agissait pas de faire tourner la guerre en l'avantage de l'Alliance, même si ils auraient surement espérer avoir d'avantage que notre troupe mêlée de vieux vétérans ayant tout subit, et de jeunes recrues ayant des premières expériences extrêmement difficiles. Après une courte réunion ayant mit en état de choc la plus part, les Fantassins Alkest, Shyfern, Redmayne, Hegins, Mentell et Hargo, accompagnés des rangers Ceinh et Yerlha, ainsi que de nos assistances auprès du chevaucheur de griffon Forwar et de la Moniale Liu. La conversation à été animée dans notre petite alcôve au Donjon, sous le regard des officiers traitant des urgences rapides, pendant que les messagers tournoyant dans toutes les directions. Une pensée vagabonde me glissa le questionnement sur les activités de sa Majestée. Que pouvait penser le Haut-Roi Wrynn de voir ses espoirs disparaitre depuis les évènements attristants de Stromgarde ? Il n'était pas question de changer ce qui fut, mais de faire en sorte d'accomplir notre devoir. Maladriel Millian et deux autres Ren'dorei, dont la chercheuse des étendues Amielda nous attendaient. Le portail ondulant à travers le vide n'attendait qu'à être franchit, mais l'anxiété de partir longtemps, débordant d'affaires médicales et de rations, me saisit. Personne n'était ni prêt, ni attendu à ça, et nous étions balancés avec un vague espoir de sauver des potentiels survivants, civils ou militaires. Glissant des encouragements, saluant notre départ dans la gloire à l'Alliance et la motivation de partir nous battre. Je traversais en premier l'accès vers ce qui serait surement, une longue et grande bataille pour notre survie.

Les hostilités débutèrent d'entrée de jeu, il n'y avait pas eu de préambule. Nous sommes apparu d'un coup dans les alentours d'une Astranaar vaincue par l'avancée effroyable de la Horde. Il n'y avait pas à espérer retrouver beaucoup de survivants à l'intérieur, si ce n'est notre propre chute, et ce n'était pas l'objectif. Il fallait retrouver des survivants ayant pu fuir, les ralliés, et les sortir de là d'un moyen ou d'un autre. Ici, pas de portails à travers le Vide, pas de portails de Mage, tout était bien trop dangereux à utiliser au cœur des formations ennemies, et pour une seule déviation, ce pouvait être une grave conséquence. Non, il fallait les faire fuir terre à terre, mais tout faillit déjà finir en drame – Le jeune envoyé de Telogrus, un Quel'dorei en formation, avait pu servir de balise pour le portail du Vide. Il avait été découvert et empalé par une lance contre un arbre, pendant que la petite expédition menée par le Tauren étrange au pelage blanc était, avec le recul, là pour voir si ce n'était pas une distorsion du Vide très dangereuse derrière leurs lignes. Mais ce n'était "que" nous, et nous avons déferlés sur leurs combattants avec la force d'une épée plantée au cœur. La bataille s'engagea, quatre Grunt sur nos flancs et le Sombrelance confiant un message à la Guerrière qui se précipita pour fuir. Celle ci fut prise en cible par la plus part des nôtres, conscients de l'importance d'une missive en un tel instant, pendant que la bataille se déchaina. Ce fut rapide pour mettre d'être mise à terre, le plastron ouvert par une blessure qui ne serait que sérieusement traitée vingt minutes plus tard, alors qu'il n'y avait dans mes oreilles que les éclats des grognements et des épées s'entre-choquante. Une bataille, au loin de la vision morne d'Astranaar vaincue en des myriades de points lumineux ardents éparpillés. Les Grunts prirent sur eux d'infliger plusieurs blessures aux nôtres, ce fut pratiquement la première fois que je vis Liu en piteuse état, faire reluire la force du Chi pour parvenir à apaisé ses blessures, pendant que Mentell s'occupait de la mienne. Le combat fut intense, mais pas impossible, et il fallait penser à faire mouvement rapidement – C'était loin d'incarné la puissance de la Horde ici même, et si ils nous trouvaient, ce serait en nombre bien plus conséquent, et bien mieux préparés. Le message arracher à l'orque qui avait voulu fuir parlait de prévenir le "Garde de Sang", ainsi que d'achever plus rapidement le "Rituel Vaudoo". Quoi que cela puisse signifier, ce n'était rien de bon.

La discussion avec le Marcheur Tauren fut étrange, ne parlant que sa langue natale, celui ci ne fut plus prompt à converser après les assauts de quelques uns des nôtres s'écrasant d'eux même par terre en traversant sa forme astrale. Il disait avoir été attiré par l’émergence du Vide, mais plutôt qu'un combat censé, il s'était trouvé mêlé à cette histoire de guerre. La fatigue se lisait sur ses traits, aussi mystiques soit-il, et il s'en alla sans plus de discussion. J'avais pris sur moi d'envoyer une équipe de reconnaissance vers Astranaar pour vérifier la situation, et elle était bien celle qu'elle était : Des cadavres partout, des soldats de la Horde en mouvement, des ravitaillements, et quelques cadavres de Réprouvé gisant au sol, en tenue sombre. Un bain de sang que j'étais heureuse de ne pas avoir vu, mais je craignais pour Shyfern, jeune soldat, qui à vécu ça de plein fouet. Winter, où que tu en sois dans ton entrainement, heureusement que tu n'étais pas là. Nous étions en pleins soins quand l'escouade de surveillant revint, annonçant le passage d'une patrouille vers l'Ouest de notre position, d'une vingtaine d'individu, ce qui nous dépassait en double du nombre mais risquait fort d'avoir vu quelque chose en se préparant à aller dénicher peut-être des civils ou des sentinelles recluses là où elles pouvaient. Notre choix était drastique : Poursuivre la patrouille et voir si elles avaient des cibles, ou se préoccuper du Rituel. Celui ci pouvait aussi avoir des captifs, en cas de nécessite de sacrifice, et les deux imposeraient de sacrifice d'autres, mais ceux en préparant de sacrifice avaient surement bien peu de chance de se défendre, et nous sommes allés à leur secours. C'est vers le sud que nous sommes parti, en espérant découvrir le rituel, progressant à travers une forêt devenue inquiétante au vue du manque d'animaux errant et du nombre d'adversaire pouvant surgir. Marchant en prenant le temps de bien nous assurer de progrésser convenablement, nous avons été appuyés par une étrange lueur qui nous fit découvrir une sorte de cœur de ronce, pulsant d'une lueur verdoyante. Une petite pause après une vingtaine de minutes de marche nerveuse et épuisante par notre minutie. Des arbres autours de la zone étaient affectés, les divers recherches ayant apprit finalement que ceux ci étaient comme ponctionner affreusement par une force obscure. Celle n'était pas aussi profonde que le Vide, mais tout aussi détournée et obscure. La forêt environnante mourrait, difficile de savoir de quel façons, et nous avons donc protéger à l'intérieur d'un vieux lieu touché par l'époque du Règne du  Chaos, lors de la grande guerre d'Hyjal qui se déroulait il y à si longtemps maintenant. Un stigmate qui commençait à guérir, et qui maintenant re-sombrait lentement.

Le passage était plein de cadavre, celui d'un druide empale sur une cime avait été vu, et des sentinelles furent massacrés sur la route. Un Grunt gisait, ainsi qu'un combattant tauren, enlacés par des racines et des pierres massives. Un combat inégale avait du avoir lieux ici, massacrant les Sentinelles courageuse pour atteindre l'objectif éloigné que nous avons découvert en foulant les tas de cadavres dont Liu accorda une pensée et une prière à leurs âmes perdues. Au fond de ce lieu isolé, un massif Ancien protecteur était comme en transe, sans lueur dans son regard, si ce n'est le vague mouvement d'un être cherchant son équilibre. Cinq Sentinelle étaient attaché, et une Druidesse était elle même dans un état second, tout en débitant des phrases rapidement que d'ici, on ne pouvait pas entendre. Elle servait le rituel du Sorcier-Docteur qui s'occupait d'une grande marmite juste devant lui, infusant une sorte de rituel qui s'élevait dans les airs créant un véritable nuage où les feuilles des arbres dévastés par ce sort tournoyaient rapidement. Il y avait plusieurs Grunts, deux Tauren et un Troll aux forces druidiques discutant auprès des restes d'un treant qu'il fouillait. Avec une Wyverne sur la droite, ils avaient une échappatoire, et personne ne souhaitait leur laissé une chance de la conservée. Notre tactique fut simple : Ne pas se laisser aller aux chances d'accomplir le rituel non même, tant on connait les problèmes des rituels trolls, et nous avons foncer brusquement vers la droite tous ensemble pour faire naitre une ouverture de force. Le premier sang coulant quand Shyfern empala un Orc de toute ses forces, mais ce n'était que le début. Les fantassins furent arrêtés par la violence du retour de la Horde dans une bataille rangée particulièrement difficile. Les Grunts n'étaient pas des fantassins arrogants des Carmines, de Trogg, ou encore des Nécrogardes, ils étaient des guerriers massifs et téméraires. Forwar, Shyfern, et Mentell parvinrent à empêcher quiconque d'atteindre la Wyverne en usant de leurs compétences dessus pour ne pas qu'elle devienne non plus une menace. Nous étions sur le point de briser la ligne des Grunts après avoir du recevoir de nombreux coups, Ceinh gisant à mes côtés, inconscients. Tandis que je me trainais au sol, le casque à côté de mon visage tuméfié par un coup reçu si fort que cela déforma la plaque. La bataille fut remportée difficilement, pour permettre à Yerlha et Alkest de finir le travail d'Hegins : Empêcher le Sorcier-Docteur dde venir à bout de son rituel. Mais ceux à droite durent subir un grave retour, quand les Taurens ont intervenu.

Ceux ci furent bien difficile à affronté, le hurlement de douleur de Frankk me résonnant encore en tête quand il se fait écrasé la jambe, condamné à boitié presque deux jours durant avec les soins conséquent qu'il faut, il va découvrir la joie de boire des potions de Sang de Troll de Millian. Deux Grunts et un Tauren gisèrent conscient, et nous avions fait le choix de ne pas les abattre. Le Rituel avait finalement été saboté par Yerlha quand elle bouscula le chaudron infecte un instant avant qu'il ne soit trop tard, et cela permit d'achevé le Sorcier en toute sérénité. Les prisonniers furent abandonnés ici, pendant que l'Ancien disparait à travers les profondeurs de la forêt où il poursuivrait son œuvre de guérison. Extirpant les cinq Sentinelles et la Druidesse revigorée par le cœur noueux découvert deux heures plus tôt, il fut décidé d'installer le campement en fond de forêt, soutenue par la Druidesse pour ne pas être vu. Malgré une nuit très difficile, une bande de Chasseur de tête Sombrelance ayant trouvé notre cachette par inadvertance avant de pouvoir s'en occuper en avançant notre réveil à tous. Nos prochains objectifs seraient de rester à distance des armées de la Horde, et de fuir en cas de contact. Ils se brisaient à l'entrée de Sombrivage face aux puissances Kaldorei, et notre rôle serait de récupérer le plus de civils et de sentinelles possible pour atteindre la plage. Il va nous falloir d'urgence une embarcation, pour les sortir de là. Pour l'instant, il nous reste une patrouille dangereuse qui erre trop proche de nous."

- Eïffy Aubéclat.


Dernière édition par Lieutenant Aubéclat le Lun 6 Aoû - 4:28, édité 1 fois
Linaild Sombrebourg
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Sam 21 Juil - 17:46
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

[Mission accomplie] Les terres elfiques en flammes Unknown

Vingt-septième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"La nuit avait été bien difficile, autant à cause de quelques gémissements de blessés inquiétant tout le monde, que de la venue de trois chasseurs de têtes Sombrelance nous ayant débusqués, et ayant du être éliminés à tout prix pour ne pas devoir être remarqués alors que certains étaient encore en soin et au repos. Shyfern n'était pas bien, et deux sentinelles furent blessés quand ils nous découvrirent. Dormir ici avait un côté confortable à cause des effets de la Druidesse veillant sur nous, mais ce confort avait un côté insupportable à gérer : Il était bien tentant de vouloir s'effondrer et s'endormir en oubliant où nous sommes, mais c'était une réaction suicidaire en cas d'attaque surprise, il fallait passer d'une condition de repos à une condition de combat en un bref instant. C'est ainsi que nous avons fini par trouver le sommeil, avant de s’éveiller lentement en voyant nos premiers camarades déjà l'entrainement matinal pour se détendre les nerfs. Tous en journée s'occupèrent de différente façons pour écarté les mauvaises pensées des problèmes subit la veille. La guerre est sur nous, totale et affreuse, et il ne resterait qu'à agir dans un ensemble d'actions menés par tous dans l'espoir de s'en sortir. Ce n'est pas la première fois que la Horde ôse croire qu'il peut se permettre de dévasté les antiques terres elfiques, et si jadis je ne pouvais que voir cela de loin en laissant les autres faire, mitigée dans mes pensées envers les Kaldorei. Maintenant, ils sont devenu des alliés malgré les problèmes vécus dans les Terres fantômes, et c'est pour l'Alliance que je lutterais pour leurs survies. Retrouvant mes camarades occupés de diverses façons, la journée était à peine entamée mais il était temps d'agir, car l'ennemi lui n’attendrait pas que nous soyons reposés convenablement. La Caporal Lyndell ainsi que les fantassins Hargo, Mentell, Shyfern, Blanc-bois et Alkest, ainsi que les Rangers Gwyn et Yerlha, accompagnés de la Moniale Liu. Discutant un instant des nécessité actuels, la patrouille devait être retrouver pour offrir un peu de sécurité aux civils locaux, les rapports des Sentinelles désignant notre prochaine cible : Un avant-poste isolé au nord permettant aux forces de la Horde de préparer des envoies de patrouilles pour trouver des civils et des combattantes elfiques en fuite. Permettre de briser cet avant-poste, c'était nous ouvrir un accès vers la mer pour nous et peut-être plusieurs rescapés que nous n'aurions pas trouver. Mais chaque choses en son temps, partant lentement vers le nord avec en arrière garde les Sentinelles, nous avons dès lors débuté notre route dans cette forêt merveilleuse, mais en péril.

Deux heures de routes suffirent à nous donner les premiers indices de vies à l'intérieur de cette forêt. Il n'y avait rien eu de bien difficile sur le trajet que des branches, des fourrés et des racines. Alkest, Lyndell et Shyfern étaient épuisés par ce trajet, et je n'osais dire que je ne me sentais pas vraiment dans un meilleur état. Avancer dans une forêt n'est déjà pas une chose facile quand celle ci est emprunte d'une telle vitalité qu'elle donne l'impression de vivre réellement. Progressant doucement à travers les arbres, nous avons entendu des bruits étranges à travers les fourrés, des mouvements rapides, et nous avions eu raison de ne pas les attaqués. Poursuivant notre route, cela donna cependant la raison pour laquelle les Sentinelles surveillant nos arrières ne purent pas intervenir à temps quand la situation devint plus compliquée, les silhouettes nous observant étant quelques Dryades curieuses mais parfaitement affolée par la situation atroce dans laquelle se trouvait ce domaine de la nature. Ignorant les silhouettes à leur plus grande joie, nous avons donc poursuivit une trentaine de minutes toujours dans la direction du nord, dans l'espoir de découvrir les traces d'une patrouille recherchant des futures victimes. Il s'agissait visiblement d'un point de relais pour des marchandises partant vers le front de guerre, un énorme kodo broutant paisiblement pendant qu'un gobelin se disputait avec des Grunts s'occupant du point de passage, le Tauren s'occupant du kodo amoureusement. Voilà une image de simplicité qui aurait pu être particulièrement agréable si ce n'était pas en temps de guerre, dirigé par la bataille. Des discussions, des discussions, et des discussions, ce fut bien là nôtre plus grand tort que d'avoir prit autant de temps à ne rien faire en discutant de tout et n'importe qui. J'ai voulu interrompre leurs débats incessant, mais l'action nous rattrapa, et ce fut malgré tout dans les bonnes intentions de tous. Les troupes désiraient détruire le poste de relais pour saboter les efforts de guerre de la Horde vers le nord, c'est ce qu'il allait se produire. Nunthas et Hargo furent envoyés vers un fourré où du mouvement avait été découvert. Progressant lentement pour ne pas être vu, ils ont fini par atteindre celui qui épiais le relais sans en venir à l'attaquer, et ce n'était effectivement pas un gobelin, car ils prirent sur eux de ne pas l'attaquer ce qui sauva surement leur conscience d'un grave traumatisme : Un enfant. Un enfant Kaldorei fixait ce qu'il se passe, mais en voyant Nuntas qui voulait surement lui parler. Le petit cria, devant la surprise de se retrouver face à face avec le Ren'dorei, et c'est là que tout dérapa.

Les deux envoyés firent taire l'enfant en se cachant rapidement au fond des fourrés, parfaitement à couvert, les quatre Grunt fouillant et inspectant ne virent rien. Nous étions tous embusqués, et l'initiative de faire quelque chose pouvait être constructif pour nous échapper, ou nous battre. Ce fut Lyndell qui força le destin, pendant que Mentell avait fait agité des oiseaux pour détournés les Grunts de la fouille qu'ils commençaient déjà à considérer comme inutile, mais notre Caporal se montra vers les guerriers en les appelant. La bataille ne pouvait plus être evitée, notre combat du jour serait donc de saboter les efforts de guerre de la Horde en espérant que le peu qu'on puisse faire sauverait des vies sur l'avancée monstrueuse de nos adversaires. Fonçant à leur rencontre, la bataille éclata avec hargne entre nos combattants les Grunts, le fusil de Shyfern résonnant dans mes oreilles et dans les environs ne laissa aucun doute que tous puissent avoir entendu le rugissement du combat s’entamant. Yerlha essayait d'empêcher le Kodo de s'enfuir, fonçant seule vers la bête et son gardien, l'esquivant habillement dans la seule volonté de saboté leurs affaires. Ce fut là que nous avons pu considérer que la solitude n'était pas maitresse de notre situation en Orneval : Pendant que la bataille rugissait autours de nous, plusieurs combattants sortirent des forêts en se ruant vers le Grunt qui s'opposait à Yerlha. Seul, il n'était pas suffisant pour parvenir à s'en défendre, et le Tauren qui voulait s'en prendre à notre Sancteforge fut combattu par une de leurs roublardes aux lames acérés, une certaine Estia. Les combats éclatèrent un peu partout, et les Grunts furent difficile à mettre à terre alors que plusieurs des nôtres gisaient déjà au sol, vaincu. Les Sentinelles n'apparaissaient pas, et le bruit du fusil de Shyfern alerta les troupes proches qui se ruaient vers nous – Un Chaman menant ses guerriers par l'Est, des Sombrelance fonçant vers nous par l'Ouest, il était temps de partir rapidement avant que beaucoup plus ne se ruent vers nous pour nous écraser. Mais les assauts de Yerlha provoquèrent un soucis inattendu : Une des caisses de ravitaillement n'était pas chargée que de nourritures diverses et variés, mais bien d'explosifs de contrebandes faire pour causer de sacrés dégâts, et c'est ce qu'ils firent en chutant par terre. Yerlha vola par terre, secourue par des combattants du Kraken, les hommes de l'Amiral Walter venu à notre aide. Les renforts adverses étaient sur nous, le chaos s'installa lentement.

Partir, c'est tout ce que j'avais en tête, partir et disparaitre de là où nous objectif avait été accomplit. Cette fois il n'y aurait pas de vie sauvée, si ce n'est... le jeune garçon, installé plus loin, sous la bonne garde de Mentell. Les Chasseurs de têtes mirent au tapis Shyfern, Alkest se ruant à son aide, alors que beaucoup des notres rampaient, ou erraient en essayant de lutter face à nos adversaires. Ce n'est qu'après une bataille acharnée que nos ennemis furent vaincu, les rescapés ne purent être laissés en vie à cause de notre situation périlleuse : Des informations délivrés pourraient nous être fatale, la guerre étant ce qu'elle est, les combattants de la Horde furent abattu dans leurs fuites, mais la suite ne tarderait pas. Déjà, bien loin de là, pouvait être entendu les prémices des nouveaux arrivants bien plus nombreux encore. Le Kodo et les affaires étaient dévastés par le fracas, le Gobelin avait été éparpillé en milles morceaux, et tout les autres furent tués, le Chaman littéralement dévasté par le Worgen du Kraken qui en fit de la bouillie. Nous ruant vers le nord en portant nos camarades tombés, ainsi que l'enfant Kaldorei, nous avons été rejoint avant le départ par les six Kaldorei de notre groupe, mêlés aux deux Dryades qui les avaient retenue. Dans l'empressement, nous sommes parti avec le matériel pour s'enfuir rapidement en essayant de rejoindre un lieu qui pourrait être sûr. C'est ne prenant bien soin de camoufler nos traces de divers façons, Liu fit usage de ses talents pour sublimer les efforts de Estia pendant que je confiais Hargo à l'Officier Fangfire des forces de l'Amiral. Un navire nous attendait bel et bien aux rivages cachés, dans le nord-ouest, si nous pouvons écarter les dangers, notre porte de sortie nous souriait donc bel et bien. Mais pour l'instant, il s'agissait de parvenir à s'enfuir dès maintenant, et suivant les consignes de ceux parvenant à nous faire évité les patrouilles et autres possibles sentinelles, ce fut après pratiquement une heure de course effrénée que nous avons rejoint ce qui serait notre havre de paix pour la nuit. Un lieu isolé, encore plus quand la Druidesse et les Dryades se mirent à faire usage de la magie naturelle pour parvenir à tissé lentement un véritable domaine de tranquillité. Nous étions donc à l'abris, au repos dans un lieu soutenu par la Nature elle même, et dehors continuait de rôder la rage chaotique de la Horde.

Pour parvenir à vaincre le campement, il était impossible de croire en des renforts de l'Alliance dans une telle situation de guerre. La flotte Darnassienne toujours en route vers une Sombrivage assaillie, notre seul espoir était de choisir quels alliances de circonstance pouvaient être ralliés dans les environs. Il en allait de la survie de ceux qui étaient sous notre responsable, et c'était là un bien lourd fardeau. Mais avec les combattants de l'Amiral Walter à nos côtés, je me sentais plus optimiste quant à nos idées de parvenir à quelque chose maintenant. La guerre apporte son lot de soucis, mais aussi de solution."

- Eïffy Aubéclat.
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Sam 21 Juil - 17:47
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Vingt-huitième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"Le choix pour détruire l'adversaire n'était pas simple à concevoir, parce qu'il donnait clairement l'idée que nous aurions à les menés vers une bataille qui pouvait leur coûté bien des vies. Et ce n'est pas quelque chose qu'un officier apprécie, mêlé ceux qui ne sont pas censés être concernés par tout ça vers un conflit qu'il ne le regardait que de loin. Mais dans les antiques terres elfiques, les lieux épargnés par l'avancée brutale de la horde ne regorgeait pas de villages citoyens, de fermes et de champs humains non. Il s'agissait de lieux resplendissant ou d'une sauvagerie brusque. Fublorg, sanctuaires de la nature, antiques ruines hantées de choses indéfinissables. Il existait des moyens, pas toujours évident, de les ralliés à une cause plus large pour leurs survies, mais c'était une nécessité pour trouver les forces suffisantes pour nous battre et libérés les prisonniers dont le sort ne pouvait qu'être funèbre entre les mains des sauvages. Nous nous souvenons encore des citoyens empalés de Theramore par la brutalité des Kor'kron. La Horde revient toujours à ses instincts primaires les plus écœurants dès qu'on lui donne une chance de se croire plus forte, et c'est hélas une ancienne forestière de Quel'thalas qui écrit cela. Qui à vécu cela. Après avoir retrouver nos camarades au sanctuaire établie par la Druidesse, nous avons discuter des possibilités en nous heurtant aux problématiques. Si les Furbolg étaient de plus en plus envisageable à rallié, ce fut en imaginant les conséquences qu'ils recevraient que nous avons abandonner l'idée de les mêlés à ça : Autant qu'ils partent vers le nord les mettre en sécurité, et nous avons missionnés les Sentinelles et la Druidesse pour aller les voir pendant que nous nous occuperons d'essayer de retrouver et rallier un bosquet de la nature censé être proche pour que ses gardiens soient la force de frappe escomptée pour s'abattre sur l'Avant-poste de la Horde qui s'occupe des prisonniers et des patrouilles les récupérant. Ce serait dangereux, terrible, et peut-être même suicidaire, mais telle était la nature de notre mission de prime abord. C'est ainsi que nos alliés du Kraken contenant le petit Marin, Estia et Eugène suivant l'Officier Fangfire, la caporal Lyndell et les fantassins Redmayn, Mentell, Hegins, Shyfern, accompagnés des rangers Konigen et Yerlha, ainsi que la Moniale Liu. Avec notre petite force frappe, nous avons quitter la sécurité de notre sanctuaire.

Et la route fut difficile, c'est peu dire. Non pas qu'elle soit spécialement âpre en combats et blessures, mais nous avons du traverser une forêt dense en passant outre les racines, les herbes et les arbres brisant les formations. S'épuisant lentement à la tâche, ce ne fut cela dit cette fois pas de même durée que notre longue, longue route vers le nord de la position d'Astranaar en fuyant après l'attaque du relais. Une trentaine de minutes furent passés en subissant quelques intrigues sur notre route. Le premier cas fut le soucis de Eugène que nous avons entendu crier de douleur quand sa jambe fut blessée par une branche pointue, et seulement ce n'était pas "que" ça – il s'agissait des restes gisants d'un Treant étalé dans les broussailles après avoir été massacré par la Horde, selon les traces des coups de haches reçu, et la hache même plantée dans le crâne. Après quelques prières et regards dégoûtés, Yerlha récupéra la hache avec elle pour potentiellement en faire quelque chose, comme prouver que les enfants et gardiens de la nature sont massacrés par les guerriers de la Horde aux esprits de la nature que nous sommes venu retrouver. Un peu plus tard, la prochaine fut un coup de chance aussi utile qu'affreux, car ce fut une scène de carnage qui grava dans la tête du jeune Marin le choc de la cruauté d'un massacre total. Des trolls et des grunts, six au total, furent massacrés et lacérés par des griffes et des crocs de l'énorme Druide de la griffe ayant succombé dans sa forme, étalé lourdement par terre. Il avait pu abattre ses assaillants, mais le malheurs était qu'il n'avait pas pu atteindre la cage contenant les six sentinelles Kaldorei fatiguée et affamée. Nous les avons libérés, pendant qu'elles récupéraient quelques armes et des rations pour se nourrir, reconnaissante mais encore haineuse de la situation. Quelques fouilles furent fructueuses, car Hegins découvrit une carte des environs de l'avant-poste pendant qu'Estia avait quant à elle mit la main sur un ordre de déplacement de prisonnier dans deux jours. Définitivement, l'attaque du camp urgeait, et ne pouvait pas être déplacée à un jour où un autre, car nous avions désormais les informations et quelques forces accompagnés des survivants de Theramore rencontré plus tôt. Mais il nous manquait quelque chose de marquant, quelque chose digne d'une force de frappe qui pouvait frapper du poing sur la table et parvenir à réussir. Il nous fallait les forces de la Nature même. Et nous étions en passe de la trouver.

A la fin de notre route, nous avons rencontrer un chariot étalé sur le côté, un Furbolg blanc ayant été brutalement décapité en essayant de retenir quelque chose, et le corps d'un Kaldorei non loin d'un braséro elfique. Après le massacre vu non loin de la cage, c'était tout d'autant plus démotivant au vue de la carcasse du Furbolg et du sabre de nuit feulant complètement paniqué dans un coin plus loin. Nous nous sommes occupés de commencer une grande investigation des lieux, en vérifiant tout soigneusement – La cargaison avait du être décevante pour les pillards Orcs et Trolls, car la plus part des caisses étaient justes ouvertes, et une partie avait été balancé en contre bas, étrangement que les matériaux rares. Le Kaldorei était encore en vue, au grand étonnement d'Estia et Marin tout en braillant de peur. Il avait vécu clairement un sacré traumatisme, en annonçant que les Orcs étaient revenu à eux en les traitant de traitres avant d'enlever les enfants et de massacrer le Furbolrg qui avait essayé de retenir ceux ci avant d'être décapité brutalement. L'inspection fut rapide et avisée pour trouver les plus d'indices possible sur ce qui avait bien pu se passé. La Horde avait agit avec violence, et brutalité, mais cela ne correspondait étrangement pas à ce qui aurait du se passé d'après le Kaldorei agité, Mentell et Fangfire s'occupant du Sabre de nuit, nous l'avons renvoyer lui, le Kaldorei ainsi que les six Sentinelles en direction de notre campement avec ceux qui se sont occupés du Sacre de nuit pour les mettre en sécurité. Du Furbolg, fut récupéré par le jeune Marin une sorte d'amulette reluisante d'une manière grandiose et magnifique, qui l'approcha finalement du braséro elfique avant de prendre feu, d'un feu qui gagnait de plus en plus de force en engloutissant Marin prit de panique, mais il ne lui arriva absolument rien. Au contraire, il semblait être plus paisible et envoyé dans une conscience différente de celle qu'il n'à jamais vécu. La pierre brillante servait visiblement à le guider vers un lieu, qui d'après une Sentinelle qu'il avait interroger devrait être un guide permettant d'atteindre un des sanctuaires naturelles qu'il nous fallait trouver. Mais ce n'était toutefois pas le véritable moment d'atteindre notre objectif sans s'occuper de celui qui avait provoquer cette mise en scène et se jouait de nous avec amusement pour profiter de la guerre pour s'abattre sur ceux le gênant. Les traces de sabots fumant avaient été découvert par Hegins, et Shyfern, accompagné de Konigen prête à suivre la piste de souffre qui nous attendait. L'entité devait payer pour son crime, et maintenant que nos alliés étaient en sécurité, nous avons fait route en direction de notre proie.

Lentement, le passage devenait de plus en plus sombre, et inquiétant. La nuit tombait, mais nous étions toujours en plein jour, une nuit obscure et engloutissante attrapant toutes lumières. Victime ce se maléfice en ce lieu épargné de la guerre, car perdu dans le fin fond d'une nature inquiétante et solitaire, nous étions éclairés par la Lumière de la lame de Yerlha, piquant sur ma peau tandis que je passais outre cette menue douleur pour laisser la Sancteforge faire brillé l'espoir, et faire reculer la brume ténébreuse qui glissait le long de la paroi sacrée comme des serpents sinistres. Des Grunts nous chargèrent de toutes les directions sans un bruit, sans un mot, ils progressèrent à toute vitesse en préparant leurs haches. Était-ce un coup fourré de la horde ? Il y avait là quelque chose de très inquiétant car illogique, et j'imitais Hegins en restant en position de garde, bouclier levé. Les Orcs nous bondirent dessus, mais nos camarades frappèrent exactement comme celui qui se jouait de nous l'avait voulu. La plus part frappèrent avec force leurs propres camarades, chaque coups furent bien assurés, mais touchèrent des nôtres en les envoyant au sol, plusieurs déjà blessés. Des grognements de consternation s'élevèrent, mais aussi plusieurs excuses étaient déjà partagés pendant que tous s'occupaient des uns et des autres. Mais les problèmes surgirent quand une immonde patte d'araignée s'écrasa contre le buste de Eugène en le mettant brusquement au sol, celle ci apparaissant avec des chuintements affreux en alertant ses petites amies autours de nous. Le chaos s'installa, et prit petit à petit une organisation plus claire et rythmée pendant que furent trainés en arrière les premiers blessés par la surprise; Les araignées ne furent pas de taille face aux armées de lances et d'épées, tandis que deux brûlaient lentement après le passage d'une torche leur ayant mit lentement feu. Un rire sournois se fait entendre, et en progressant à peine, la cible était là : Un Satyre agacé de notre présence, protégé par ses dernières gardiennes vicieuses. Il avait escompté voir la Horde dévasté le sanctuaire druidique, et utilisait les éléments volés par ses soins pour provoquer un sortilège grave à son entrée. Il avait espérer nous perdre, mais la pierre de Marin nous avait fait évolué dans les ténèbres, et rien ne pu le protéger de notre fureur, si ce n'est sa magie. Plusieurs d’entre nous furent étalés au sol, accablés par des malheurs fictifs fait pour nous ponctionner tout nos espoirs, et notre énergie. Je me souviens avoir du subir un Jugement devant les autorités de Quel'Thalas pour ce que je suis devenue. C'était... indescriptible, affreux, mais ce n'est grâce à l’écho de mes camarades que j'ai pu m'en libérer. Le Satyre, était sur le point d'être vaincu.

Massacré par les lames, plusieurs blessés écrasés au sol. L'apparition du Druide Cirmo Doucefeuille fut inspiration et apaisante pour tous. Moi même ayant été frappée par les Ombres de son baroud d'honneur face à nos effectifs, il n'en restait qu'un corps massacré quand le vieux druide arriva en compagnie de Yerlha et Estia, fatigué et agacé par les ténèbres ayant prit place en ce lieu. Usant de la Nature elle même, tournoyante autours de son être, et de chacun d'entre nous, celle ci fut reluisante et merveilleuse alors qu'elle chassait les ténèbres de cet endroit. Ce fut une des plus belles visions que nous avions pu voir depuis notre arrivée. Un sanctuaire de la nature, tranquille et magnifique, aux milles lueurs et à la vitalité regorgeant de chaque plante, et des gardiens naturels rôdant autours de l'Ancien installé au fond du dit sanctuaire. Notre conversation en trainant nos blessés n'ayant pas eu suffisamment de la guérison de la nature même pour se reprendre, fut fière et vivifiante pour nos espoirs et notre volonté à en découdre avec la Horde. Les preuves des massacres des gardiens et de la volonté de la Horde de marcher sur tout ce qui est sacré pour la nature et le peuple Kaldorei, fut suffisant pour nous voir confié l'épée qui appelait l'Ancien et ses esprits protecteurs. Récupérant l'épée, c'est donc avec l'idée que demain, nous attaquerons l'avant-poste de la Horde isolé pour récupérer les prisonniers, et nous étions enfin déterminé à croire que tout se passerait pour le mieux, cette fois."

- Eïffy Aubéclat.
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Dim 22 Juil - 2:55
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Vingt-neuvième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"Le moment de partir guerroyer est toujours un peu tendu, surtout quand on sait que cette fois, il ne s'agirait pas d'un petit conflit isolé dans les bois ou d'une embuscade bien ficelée. Il s'agissait d'une véritable guerre qui nous attendait, et nous y étions préparer depuis les deux derniers jours. Les nouvelles du nord ne sont pas bonne, la Horde semble impossible à arrêté, et la Flotte Darnassienne prendra encore du temps pour revenir. Hurlevent ne peut pas faire venir de renfort aussi vite qu'il soit possible, et nécessaire, surement ceux ci sont sur les flots agités en ce moment même à espérer arriver au bon moment. Le bon moment, il s'échappe lentement, autant que nos espoirs alors que Sombrivage est à la merci de la Dame noire et de sa suite servile stupide. Quel honneur trouve t-on dans cet amas de crime de guerre, où les civils meurent, perdent tout ce qu'ils ont, et fuit ? Nous contemplons cela ensemble, depuis les cachettes d'une Orneval vaincue, mais avec les forces de l'Ancien rallié à nos efforts, peut-être pourrons nous au moins fuir avec les civils de l'avant-poste qui est devenu notre cible prioritaire maintenant. Nous préparant au sanctuaire, celui ci avait été agrandit et préparer par le vieux Cirmo et la druidesse, prêt à accueillir de nombreux blessés et tout ceux que nous pourrons ramener avec nous. J'observais nos troupes, tous semblaient anxieux, mais déterminés, et c'était à moi de parvenir à les galvanisés. Les quelques survivants du Châtiment de Theramore ressemblant à des âmes errantes, comme l’écho du passé disparaissant peu à peu depuis la destruction il y à des années de leur citée-état. Les Sentinelles avaient vraiment l'air de vouloir en découdre, et nos troupes étaient fatigués, mais droit dans leurs bottes. Les Fantassins Shyfern, Hegins, Redmayne, Mentell et moi même seront le fer de lance de cette expédition, accompagnés de la Moniale Liu, de Forwar, et des rangers Amefolle et Yerlha. L'Officier Fangfire était présent également, avec Estia du Kraken de l'Amiral Walter. Marchant vers le champs de bataille nous attendant, quittant les lieux en subissant la longue route, rien ne nous était arrivé de notable cette fois, à l’exception de la tentative de piège d'un période Réprouvé installé au sol. Il se pensait bien caché, mais Alden le surpris involontairement, pensant comme les autres à une dépouille laissé ici par les efforts de la guerre. C'était plausible, nous étions tombés sur plusieurs scènes de carnages sur la route comme ce groupe de Furbolg massacré par des Grunts. Mais Shyfern ne fut pas dupe, et planta sa hache avec force dans son crâne, ce qui fut pour effet intéressant de l'achever et de nous protéger de son pistage. Un soucis de moins.

Progressant dans les forêts jusqu'à arriver aux abords de l'avant-poste, les premières soucis se profilèrent dès notre arrivé en trouvant une Prêtresse d'Elune interrogée par un gras Gobelin, une dizaine de Grunt autours discutant et s'occupant d'un chariot de prisonnier, sous les ordres de la terrifiante Chanteguerre sur son loup de guerre grognant. La situation aurait pu être simple, si le Gobelin n'était précisément pas en train de dire à la Prêtresse d'Elune qu'il allait exécuté les civils sous ses yeux jusqu'à ce qu'elle lui dévoile un moyen de contrôlé des Feu-follets. C'était ça, l'objectif, chercher des solutions rapides et efficaces pour leur misérable chef de guerre essayant de briser les défenses du légendaire Malfurion. Le plus gros problème dans l'instant était qu'un Grunt bousculait lentement une jeune Kaldorei hors de la cage, pour l’amener lentement en direction du Gobelin, l'étalant sur ses deux genoux, et levant haut sa hache. Pour une fois, il n'était clairement pas le temps de discuter, notre plan avait été préparer rapidement, mais il fut lancé quand la scène devenait bien trop dangereuse pour celle qui était sur le point d'être exécutée. Le fumigène de Yerlha s'écrasa brusquement sur le gros Gobelin, pendant que celle ci et Liu se ruaient sur l'Orc pour l'empêcher d'accomplir son forfait. Dans un cri de guerre, les fantassins se ruèrent dans un grand impact contre les Grunts, pendant que Fangfire récupérait le chariot à prisonnier en exécutant la Chanteguerre d'un coup bien avisé. Lances, haches, boucliers tonnant les un contre les autres dans une mêlée furieuse et puissante, les coups partagés rugissant et se répondant. Dans la fumée, Estia fut repoussée brutalement par le Gobelin qui se débrouillait pour s'en sortir avec son arme à feu, cherchant la Prêtresse d'Elune déboussolée, alors que les Grunts tombaient petit à petit, tout comme le Loup de guerre enragé qui fut massacré à la pointe des lances. Shyfern n'était pas bien, sa jambe défaillante depuis qu'elle avait été écrasée brutalement par le Tauren massif, et il récupéra un fusil pour nous assister. Intérieurement, je me sentais mal à l'aise de perdre un élément de front prometteur, mais il fallait ce qu'il fallait. Forwar était étalé par terre, gisant dans son sang en devant être traité d'urgence, sa volonté d'en découdre toujours aussi hargneuse malgré son état. Ce n'était que le début de la bataille, nous n'étions même pas encore à l'avant-poste, et nous étions déjà accablés et fatigués. Les civils et la Prêtresse furent laissés aux milliciens de Theramore qui prirent soin de les faire reculés vers le sanctuaire, pendant que le reste de notre expédition se préparait à retourner aux combats. Lances en avant, espoir au cœur, nous abandonnions ce lieu en progressant vers les hauteurs rocheuses où nous serions obligatoirement vu et attendu. Tant pis, c'est ainsi que nous ferons : En y allant droit devant, avec volonté et courage. Les étendards flottant de la Horde se multipliant jusqu'à ce que l'on puisse voir le visage du Tauren au pelage noir qui dirigeait ce camp. Et son armée, bien plus nombreux que nous. Et c'est là que Drekhus leva l'épée de l'Ancien.

Rien ne se passa pendant un instant, peut-être n'était-ce pas une si bonne idée que ça, mais alors que la Horde s'engageait à une ruée mortelle que nous n'aurions jamais pu contenir, les esprits de la nature furent convoqués et se mirent à envahir l'avant-poste en des myriades de couleurs chatoyantes, de feu-follets tournoyant autours du camp, et des treants surgissant de nulles part. L'Ancien, l'arbre massif aux magnifiques feuillages mauves, était installé au milieu comme si il avait toujours été là. Un fracas de la nature dispersa les Grunts au sol, qui se mirent à devoir lutter pour leurs survies, le massif Tauren reculant quand Frankk le touchant à l'épaule. C'était le moment d'agir, et nous sommes rués à l'assaut en renfort aux forces des Gardiens de la nature présent partout dans le campement. Des cris, des rugissements, s'étendaient de toutes les directions. Estia se rua vers le bourreau qui désirait abattre le plus de ses prisonnières guerrières avant qu'elles ne puissent être libérés. Amefolle s'acharnait à essayer de ralentir le convoi fuyant avec les adeptes druidiques qu'ils voulaient forcer à utiliser pour essayer de briser le mur de Feu-follet, pendant que Yerlha et Drekhus se ruèrent sur le déchiqueteur Gobelin qui faisait des treants du petit bois. Forwar, malgré son état, assistait Fangfire à la destruction du démolisseur qui se tournait vers l'Ancien, pendant que Liu et Alden tentaient d'en finir avec le Tauren coordonnant les réponses à notre assaut. Pour ma part, j'assistais Hegins de notre côté, qui avait brisé les chaines pour laisser ceux ci se mettre à fuir rapidement en paniquant. Un civil sorti, et se prit la hache du Grunt qui l'attendait hors de là, son sang glissant le long de l'ancien, sans la moindre once de pitié. La bataille était totale, je luttais avec Hegins en entendant les tirs de Shyfern s'écrasant parfois sur un Grunt en l'envoyant valser contre terre, pendant que nous nous taillons un chemin en hurlant la direction à prendre aux civils et Sentinelles blessés fuyant dans toutes les directions. Du chaos, naissant une vague organisation, et je pouvais voir le déchiqueteur gobelin vacillé et s'écraser par terre avec Yerlha, blessée, quand un explosion avait emporté le pilote mais blessée la Sancteforge au passage. Tout n'était que fumée qui s'élevait et chaos, mais la plus part des citoyens s'en sortaient pour fuir, malgré quelques blessés. Ou pire, mais ça, je ne préférais pas y penser sur l'instant. Le démolisseur avait été dévasté, ayant eu le temps de tirer une fois sur l'Ancien, qui se reprenait lentement de ce qu'il venait de subir. Tous parvenaient à faire sortir les prisonniers, Hegins en grand danger alors qu'elle avait libéré les adeptes druidiques, deux reçut par les lances des Trolls les attendant. Nous étions en passe de triompher, malgré les pertes, des Sentinelles gisant au sol, ainsi qu'un des hommes de Theramore ayant prit une hache l'ayant presque coupé en deux. Nous étions en passe de triompher. Puis l'Ancien prit feu, prit dans le torrent monstrueux de flammes élémentaires. Il fallait s'enfuir.

Le cor de guerre de la Horde résonnait, alors qu'Estia, Fangfire et Yerlha, après la chute et la destruction du démolisseur, s'acharnaient à essayer de détaché les dernières prisonnières enlâcés dans les chaines non loin du bourreau dont la tête fut ironiquement planté par une dague à son propre billot. L'Ancien brûlait, agonisait, et les Treants partageaient son supplice dans un son qui ressemblait à un chant funèbre, plutôt qu'un cri d'agonie. Il rugit, en nous ordonnant de partir avec ceux pouvant être sauvés, ce que nous fîmes. Les chevaucheurs de loups arrivaient, en renfort de la Horde pour nous submerger, autant que plusieurs Wyverne volaient déjà dans les cieux, une lance empalant un fuyard, plusieurs autres s'écrasant sur l'Ancien mourant. Je retirais ma lance du Troll après être venue en aide à Hegins, peu de temps après la mort du Tauren qui fut finalement massacré malgré une énorme résistance de sa part. Tous fuyaient, portant nos blessés et inconscients, abandonnant malheureusement les morts derrière nous, des tirs de fusils et des coups partagés avec le peu de guerriers survivants restant. Le Chaman ayant mit fin à la vie de l'Ancien fut sonné, tandis que ce dernier, usant de ses dernières forces, fit barrage par la puissance de la nature même élevant les barrières naturelles pour écarté les ruées des chevaucheurs et autres troupes voulant nous submerger. Le convoi se ruait vers les forêts, pour y disparaitre rapidement en paniquant. Nombreux hélas ne sortirent pas en vie du campement, mais la plus part purent s'échapper sous l'aide des soldats écartant au mieux les menaces. Moi et Yerlha, assistés par les tirs de Shyfern, retenaient l'Ogre sur nos arrières qui écrasa tout de même une pauvre Sentinelle qui allait enfin s'échapper de cet enfer. Estia, Drekhus et Fangfire continrent l'Orc qui chevauchait son Kodo maltraité, qui à pu être soigné et rallié par les talents de Drekhus avec les animaux et la nature même. Sa présence fut particulièrement utile, et surtout particulièrement inattendue, mais ce choix formidable de ne pas achevé la bête fut utilisé par terre. En avant, les chevaucheurs de loups ayant contournés de prime abord la route pour nous coupés la fuite, avaient été décimés. Deux corps enlacés dans les ronces gisaient, piétinés par notre ruée rapide en transportant qui devaient l'être, notamment Shyfern qui avait abattu deux Wyvern, et faillit prendre une lance en plein torse avant que je ne le sorte rapidement de la trajectoire. Quel frayeur. Sur la route, le long voyage de plus de deux heures de fuite rapide, galvanisés par un Fangfire agitant les bras et soutenant notre départ, prenant bien soin de ne pas tomber sur des patrouilles tout en voilant nos arrières par les talents d'Estia et Liu combinés. C'était fini, ce terrible combat, le plus âpre à mené derrière les lignes, s'achevait enfin.

Le repos attendait tout le monde, des sortes de lit naturel furent utilisés pour les blessés, pendant que tous étaient au petit soin des autres dans le sanctuaire isolé. Autant de monde avait pu être récupérer, ramasser des griffes de la Horde, c'était là notre victoire. Nous célébrions cela humblement après avoir du soigner nos pairs de blessures sérieuses, la plus part déjà endormi, après leurs traitements. Et voir tout ses vies, même avec toute cette souffrance, c'était là notre humble victoire. Orneval est vaincue, cette terre est brisée par la Horde, et notre seule espoir de mettre définitivement en sécurité ses Kaldorei, et Gilnéen, c'est de partir vers le nord avec le navire de la flotte de Walter. Finir notre mission en apportant les rescapés, et peut-être que d'ici là, l'Alliance sera arrivé, et la Horde une nouvelle fois vaincue. Il faut juste que les Kaldorei tiennent. Qu'ils tiennent avant l'arrivée des renforts, des vrais."

- Eïffy Aubéclat.
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Lun 23 Juil - 3:43
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trentième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"Il était grand temps de partir et d'oublier les problèmes vécu jusque là. Les quatre derniers jours furent éprouvant, et les nouvelles du front étaient aussi vide que notre situation nous permettait d'en savoir plus. Nous pourrions très bien sortir du sanctuaire en tombant nez à nez avec une vague de libération de l'Alliance soulevant nos couleurs que nous pourrions nous jeter dans une meute de loup enragée par la soif de sang. C'était donc avec une certaine anxiété que la journée débutait pour tous après une nuit difficile à subir des pleurs, des plaintes, et des apitoiements qui étaient comblés par les tentatives de remonter le moral de tous. Il était difficile de survivre avec la volonté de parvenir à nos fins une fois accablés par autant de misère et de chagrin, mais cela restait une nécessité éprouvant. La nuit avait été au moins confortable, et sans accroc. Notre petit sanctuaire nous ayant donc permit de nous reposer parfaitement tout le long de sa naissance, jusqu'à notre disparition, en direction d'un des refuges possibles au nord qui nous attendrait pour poursuivre vers le rivage où le navire devait nous y attendre. Le Major Recan émit le doute sur cette question, en suggérant que le navire du Kraken était peut-être déjà au fond de l'océan, mais cela ne me servit qu'à avoir une boule d'appréhension dans le ventre en essayant les mots basiques de "tout ira bien. Tout ira bien." en espérant ne pas devoir improviser si tout va mal. Préparant notre départ, il était temps de partir, nous serons donc à la pointe du groupe en avant-garde éloignée pour pouvoir dévié tout les pièges, embuscades, et autres problèmes loin des civils. Et ce ne fut pas chose aisée, comme vous allez le découvrir. Les Sentinelles et autres troupes surtout de Kalimdor, surveilleraient les rescapés qui marcheraient en troupe bien protégée par la nature. Eux méritaient toute l'attention de nos forces, car c'est eux qui devaient être sorti de là à tout prix. En pointe, se trouvant la Caporal Lyndell, et les fantassins Hegins, et Mentell, ainsi que moi même. Les autres n'étant pas apte à combattre. Liu était à nos côtés, avec les Rangers Yerlha et Konigen, ainsi que nos alliés, l'Officier Fangfire, Estia, des Fils du Kraken, et le Major Recan ralliant le châtiment de Theramore. Toute cette petite expédition s'extirpa finalement du bien heureux sanctuaire pour retrouver la forêt et ses myriades de possibilités, ce domaine hostile entres les griffes osseux de la Mort incarnée par une Reine-Banshee belliqueuse et sa Horde soumise. Orneval n'est plus un lieux subir, comme nous avons amèrement du l'apprendre, dans cette mission de sauvetage dangereuse.

Progressant lentement à travers les forêts, notre première rencontre se solda par un secours rapide après avoir faillit provoqué le pire, quand un buisson se mit à hurler sur Lyndell. Les environs étaient de plus en plus recouvert de traces de différentes batailles, et celle ci n'échappait pas à la règle. Bien que nous n'avons pas trouver d'où il pouvait venir, après avoir vu Konigen balancé un fumigène dans le tas de broussailles, provoquant un mauvais coup de griffe sur la pauvre Lyndell qui fut balancé plus loin. Plutôt que de répondre par la force, Yerlha le fit sortir de la fumée le rendait aveugle et paniqué, découvrant le Druide de la griffe grièvement blessé, dardés de flèches, coups de lames, qui auraient du nous mettre la puce à l'oreille quant à ce qui allait se passer par la suite. Prenant le temps de lui fournir un traitement médicale rapide, celui ci fini entre les mains de Cirmo et de sa jeune amie pour parvenir à guérir ses blessures. Nous avions évité le pire, et ce n'était peut-être pas plus mal dans notre situation, car en plus d'avoir un allié de valeur pour la suite, il s'agissait d'une vie supplémentaire sauvée. Progressant encore dans les longues heures de voyages nous menant vers le nord, il était difficile de savoir vraiment à quel heure nous étions. Traversant des passages, devant faire des haltes pour évité les complications, les patrouilles, régulièrement prévenu par les dryades pour changer de passage avant de foncer droit dans une confrontation avec des Grunts d'arrière-garde, ou même un passage de Furbolg agités par la guerre. Et ce, jusqu'à parvenir à un avant-poste de relais Kaldorei, dirigé par un Capitaine discutant avec plusieurs Sentinelles pendant qu'une Prêtresse d'Elune discutait avec des civils candides bien heureux d'être bien traités, et conversant de tout et rien pour essayer de ramener le plus de civils locaux ayant fuit, ou même des poches de résistance. Pour plusieurs d’entre nous, c'était un véritable éclat d'espoir. Des sourires s'étalèrent sur de nombreux visages, j'entendais Fangfire bien heureux de croire que notre situation était bien moins compliqué qu'elle n'aurait pu paraitre. Nous étions pas seul, il y avait peut-être plus de résistance que prévu, et c'était obligatoire. On ne pouvait pas être seul en cette vaste forêt, et il est possible que nombreux soient les résistances. Nous avons discuter avec le Capitaine qui insistait pour qu'on poursuive sans eux, nous proposant des boissons fortifiantes pour nous aider vers notre départ. Ils laisseraient les citoyens rescapés avec le convoi arrivant derrière, et il fallait qu'on puisse poursuivre notre route, insistant en disant que leur devoir les laissait ici. Mais la conversation tourna court, quand Liu écrasa le visage de la Prêtresse d'Elune avec un cri de prévention, à laquelle Yerlah réagit en embrochant une des Sentinelles. Les espoirs de Fanfgire disparurent. Ce n'était pas des Kaldorei.

Le voile illusoire se dissipa quand les Réprouvés nous firent face, encerclant rapidement notre groupe avec des arbalètes, une des Dryades fuyant pour prévenir les troupes arrières et chercher du renfort en urgence. Les civils paniquèrent et fuirent droit vers un des groupes de Nécrogardes se ruant vers nous, les mettant en danger rapidement, mais le Capitaine retenait une partie d'entre nous, celui ci ayant laissé place au Magus moqueur faisant tournoyer le froid lui même. Une bataille éclata, en clair sous-nombre, ce qui nous laissa dans le grand péril pendant que certains s'occupaient d'essayer de sauver les Citoyens dont un fut déjà blessé à la jambe, mais les efforts des troupes permit à Estia de guidé les rescapés vers la direction du convoi. Je me sentais en difficulté face à un adversaire en surnombre, ma lance cognant des boucliers, le Vide tournoyant dans une force de frappe supplémentaire, mais ne remplaçant pas une armée. Les troupes de Rocan arrivèrent brusquement en levant leurs arbalètes dans des tirs s'écrasant contre les boucliers d'aciers, Mentell usant de la nature pour essayer de soutenir le terrain de bataille. Le chaos était bien présent, mais au moins les civils furent protégés par les efforts de Konigen, Liu, Hegins et Estia. Celles ci ayant du le faire tout en subissant l'assaut du Prêtre des Ombres qui séduisaient les pauvres victimes en attendant des réponses à ses questions pour parvenir surement à récupérer des poches de résistances ou des pouvoirs permettant à rendre encore plus rapide cet assaut éclair. La vitesse, c'était la clé de joute, ce n'était pas une bataille lente et dévastatrice comme les assauts de Garrosh. Ici, tout allait si vite, progressant de manière alarmante vers Sombrivage, à peine retenu par les efforts de l'Archidruide. Il faut que les Kaldorei tiennent avant les renforts de l'Alliance, mais dans l'instant, nous étions nous même en plein dans la bataille. Les Réprouvés tinrent bon, et plusieurs reçu quelques blessures, certaines plus graves que d'autre. Hegins avait l'épaulière en sang, mais notre rôle avait été joué pour le sauvetage des victimes innocentes. Le Prêtre fut massacré par Estia et Liu, après que sa mâchoire fut brisée en pleine incantation, ce qui n'est jamais une bonne idée quand on manipule les Ombres et que la concentration se perd. Le Magus reçu un carreau d'arbalète en pleine tête, avec autant de violence que le crâne tomba au sol pendant la ruée des Nécrogardes levant leurs boucliers, ayant échoué misérablement à la protection. Cette ruine en était réellement une, ce n'était pas un emblème d'espoir, mais à l'inverse, plusieurs Nécrotraqueurs avaient été vu disparaitre dans les fourrés éloignés. Nous étions loin d'être en sureté.

Progressant en avant du convoi, bien plus sur nos gardes, il fallait trouver les pièges et les Réprouvés survivant avant qu'ils ne prennent les rescapés au dépourvut. Si des renforts arrivait, ce serait un massacre, il ne fallait pas s'arrêter malgré les difficultés. Les membres du Kraken furent nos ombres, allant dans la forêt pour surveiller nos flancs pendant que les troupes de l'Alliance marchaient ensemble sur la vague route. Yerlha ayant trouvé une carte des refuges connus par les Réprouvés, notre voyage était simple : Atteindre un des refuges qu'ils n'avaient pas découvert, connu par les Sentinelles. Enfin, un objectif clair, et il s'agissait d'y arriver en vie, ce qui ne fut pas chose aisée : Les pièges étaient nombreux, très nombreux. Haches, pièges à loups, et autres. Yerlha eue le malheurs d'avoir la jambe prise dedans, et je m'imaginais mal sa douleur sur l'instant. Fangfire fut prit dans un piège vicieux dans le cadavre d'un Kaldorei, grossier et insultant, c'était une véritable honte d'avoir souillé un corps pour en faire une bombe. Les soucis sur la route étaient nombreux, dangereux, qu'ils soient dans la forêt comme sur la vulgaire route que le chariot peinait à faire progresser, si ce n'est pas l'effort du Kodo tirant celui ci dans des craquements de bois. Hegins nous signalant la présence d'une sorte de gaz, comme nous en avions l'habitude dans les Hinterlands maintenant, qui fut soufflé par les pouvoirs conjugués de Liu et Mentell. Cela aurait été difficile sans l'aide de l'un envers l'autre, mais un carreau s'écrasa contre Mentell brutalement. Les Réprouvés sortirent de leur embuscade, guidé par la Guerrière Orc levant sa hache de guerre. La bataille débuta, dans une grande ruée pour venir à bout des adversaires sinistres. Fangfire était quant à lui aussi tombé dans une embuscade face à quelques Réprouvés après être tombé dans le piège de l'explosif dans le cadavre, autours de nous, des combats avaient éclatés pour ouvrir l'accès final au sanctuaire, ce qui couta quelques plaies mais aussi la triste mort d'un des soldats des très, très rares survivants de Theramore, d'un carreau en pleine gorge. Le combat fut lourd en difficulté, et la Guerrière fut achevé pour qu'elle périsse dans l'honneur au combat, à sa demande. C'était incompréhensible pour nous, de vouloir périr pour la Dame noire, mais tel était son choix. Nous étions au bout de notre péril, Estia ayant frapper avec fureur depuis le dos d'un ennemi largement contourné, l'avantage était notre, et la fin du conflit nous apparut rapidement. Ainsi que la fin de notre voyage.

La route s'acheva après quelques soucis supplémentaires, et la découverte de quelques rescapés isolés dans une cachette, avec un lance-glaive. Traqués par les Réprouvés pour récupérer leurs armements, tout comme leurs vies, ainsi que l'apparition d'un Sanctuaire de la nature où un Treant nous suivit. Cela me fendit un instant le cœur, en repensant au devenir de l'Ancien lors de l'assaut du camp des prisonniers. Mais pour l'instant, tout ça était loin derrière nous, et l'humble refuge accueillit nos rescapés et nos soldats fatigués et blessés. Nous y sommes presque, le navire n'est plus bien loin. Bientôt, nous pourrons repartir vers le nord sur les flots, et rejoindre les forces de défenses Kaldorei, si rare et si précieuse tant que la Flotte ne sera pas arrivé. Puisse la Horde être vaincue pour ses crimes, pour l'instant, nous nous attachons à l'espoir de quitter Orneval en vie."

- Eïffy Aubéclat.
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Mar 24 Juil - 2:16
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-et-unième entrée – Orneval, territoires elfiques en Kalimdor.

"La nuit fut éprouvante, plus qu'elle ne l'à jamais été. Il était vain de croire que la Horde nous laisserait en pas alors que plusieurs guerriers rugirent dans la nuit en assaillant le refuge. La première à être informée de l'assaut fut la première à mourir, une Sentinelle malchanceuse égorgée par un grand coup de hache alors que les Guerriers de la Horde rugirent et s'écrasèrent sur les malheureux n'ayant pas eu le temps de partir. Tous furent réveillés par l'appel de la bataille, et la Horde fut repoussée par les efforts des défenseurs plus nombreux et usant des forces de la Nature et des membres de l'Unité Fordragon s'éveillant brusquement, Liu en premier ligne. Je me souviens du regard de la Forestière Sombre qui nous fixait au loin, avant de disparaitre, laissant une flèche noire transperçant le corps de la civile morte devant moi sans parvenir à faire quoi que ce soit pour la sauver du poison qui coulait dans ses veines. J'observais Liu mettre un genou à terre, en regardant la dépouille qui avait un risque de revenir à l'état d'un squelette pernicieux en arrachant sa propre chair. Et fermait les yeux, ce qui devait être fait, arriva. La nuit se poursuit alors que plusieurs furent privés de sommeil, volontairement ou involontairement à cause du stress soulevant le cœur de tous. Une fois passé le Zenith, il était temps de se préparer à partir vers le rivage pour finir notre route, conscient que celle ci risquait encore d'être parsemée d'embuche, j'adressais une prière discrète à la Lumière pour que celle ci veille sur le Navire, ne m'attendant à qu'une bénédiction : Qu'Elle protège les autres, à travers le Vide que j'ai fais miens, je l'aiderais à le faire. Organisant notre départ, avec quelques discussions épars, nous nous sommes donc mit en route avec les fantassins Redmayne, Hegins, Mentell, Shyfern, et Numil, en compagnie de moi même, accompagnés des Rangers Yerlha, Konigen et Tikipl, ainsi que la moniale Liu, et les Fils du Kraken, l'Officier Fangfire, Marin et Estia. Nous installant en pointe au devant des combats à venir, une fois de plus nous étions prêts à subir tout les soucis possible. Derrière nous, les civils se préparaient à partir, avec les flancs défendu par les Rangers et les Fils du Kraken. Cette fois, nous serons prêts à nous confrontés aux problèmes voulant nous mettre à bas. Et ils seront nombreux, car après avoir subit tout ce que la Horde désirait mettre sur notre route, il était encore loin le moment de pouvoir enfin se reposer tranquillement.

Une route longue, écartant les fourrés et les racines, toujours bien présent, mais diminuant aux fils des quelques heures quant notre voyage nous rapprochait du rivage. Laissant des trous, des bosquets vierges, dans une étendue forestière devenant de plus en plus sombre et obscure. Mais avec l'impression que la chaleur augmentait, au fur et à mesure où nous étions sur le point d'arriver à notre destination, tragiquement proche du front. Sur le trajet, il se déroula bien des misères pour notre groupe. Les pièges étaient nombreux, Yerlha ayant eue le malheurs d'être frapper dans le dos par un d'eux. Mais échappant à ceux ci, après un départ rapide, celle qui nous avait assaillie dans la nuit ne désirait clairement pas nous voir ressorti vivant : Les Grunts attaquèrent, surgissant de notre dos, en se ruant vers les civils. Ils étaient cachés là, depuis on ne sait combiens de temps, échappant à la vigilance, jusqu'à ce qu'ils frappent. Six Kaldorei rescapés furent tués, six vies sauvés au prix de tant d'efforts, venaient de disparaitre subitement. Quel malheurs, quel affront à la vie, mais la Horde n'avait clairement pas envie de nous laisser rejoindre un lieu en sécurité après tout nos efforts pour l'affronter en ce territoire conquit. Je commençais à me dire que je ressentais ce que c'était que de vivre à Gilnéas, toujours en perpétuelle bataille. Progressant, notre ligne elle due parcourir les environs du regard en s'occupant aux mieux des blessés de l'assaut, se trainant difficilement derrière. La pluie ne cessait de devenir de plus en plus grandiose, ayant presque du mal à voir devant nous, et visiblement cela n'allait pas à notre aide. Les Rangers tombèrent sur une petite ruine avec trois Naga à l'intérieur, discutant entres eux isolés de tout. Après quelques réflexions, je décidais de ne pas l'ordre acceptant le massacre des trois Naga isolés. Il fallait se regrouper, retrouver un peu de calme, et avec les dix Sentinelles retrouvé par les Fils du Kraken dans une tente abandonnée plus loin, on pouvait enfin progresser de manière plus calme. Un éclair s'étant écrasé contre les troupes de Theramore, ne tuant heureusement personne, il était clairement temps foncer vers l'avant. La Tempête voulait nous empêcher de progresser, mais nous sommes finalement arrivés à destination. Une vieille ruine elfique datant des grandes années de l'Empire Kaldorei. C'est ici, que le bruit des flots devenaient de plus en plus intense, alors que le navire devait nous attendre loin d'ici, mais en plus de cette tempête irréelle qui prenait de plus en plus forme, la pluie tombant en agaçant nos vues et glissant le long de nos armures. Cela n'empêcha par le bruit de la bataille de nous venir aux oreilles, tout en observant les guerriers de la Horde s'attaquer aux perfides Naga qui les empêchaient d'approcher, dans un conflit difficile, et sanglant. Quoi qu'il se passe ici, la guerre faisait rage, et si on voulait parvenir à récupérer notre navire, il fallait faire en sorte que cesse la tempête invoquée monstrueuse.

Le conflit était enragé et malgré la fureur des Naga, ils n'étaient pas de taille face aux troupes des Orcs menés par le Garde de Sang qui regardait de haut les protecteurs serpentins empêchant l'accès aux ruines, des bruits de fracas résonnant dans nos oreilles brusquement. C'est alors que nous avons décidé qu'il était temps d'agir, malgré le fait qu'on ne voyait strictement rien. La ligne avançant en bonne ordre, ce fut Liu qui nous fait découvrir que des silhouettes approchaient, un instant avant que les trois énormes Naga ne surgissent pour nous frapper de leurs lances, dans un grand fracas de boucliers résonnant. Le conflit éclata brusquement, dans des bruits de coups partagés face à l'adversaire vaguement attendu, depuis la révélation des Rangers plus loin dans la forêt. Ils furent écrasés, mais la Sorcière qui nous avait vu fit naitre la glace qui faillit nous massacrer, congelant presque certains d’entre nous, devant sortir de l'effet de sa magie pour ne pas être tués par le froid intense, en laissant plusieurs d’entre nous en piteuse étant. Nous avons du souffrir en progressant, essayant d'atteindre l'étrange Statuette d'Azshara d'où provenait la tempête, subissant les tirs d'un lance-harpon que nous avons finalement pu retourner contre eux, quand je transposais Liu, Rocan et moi à travers le Vide directement derrière eux. Quand nous sommes arrivés jusqu'à elle, les autres aussi avaient fini de souffrir de leurs propres épreuves. Nos rangers furent confrontés à la fureur de la foudre qui s'écrasait là où "Il" voulait – L'énorme murloc aux bracelets enchantés maniant ce pouvoir quand ses laquais, des petits murlocs aux antennes brillantes, désignaient là où il fallait. Les trois Rangers fonçant vers le nord, après avoir découvert que les Murlocs étaient responsables de tout ça, pendant que l'énorme bête usait des enchantements liés aux bracelets – C'était sa force, et sa faiblesse. Quand ils furent brisés, l'intensité de la foudre maniée lui revint en pleine figure, et il fut massacré par son propre pouvoir, dispersant les murlocs dans tout les sens. Les Fils du Kraken quant à eux, eurent à subir l'invasion de la Horde sur les ruines. Bravant la difficulté, ils assaillirent en surprise les Grunts maniant le démolisseur à l'arrière, en massacrant les combattants malgré la difficulté de devenir se battre dans l'intensité de la pluie, sur une plage trempée, avec des guerriers rôdant partout en allant à l'assaut des Naga. Blessés, bousculés, Estia parvint quand même à prendre le contrôle du démolisseur et à tirer vers la cible la plus tentante : Le rituel, qui d'après Cirmo qui m'en parla sur le navire, devait être le rituel d'invocation d'un Infernal. Malheureusement, les quelques citoyens Kaldorei qui étaient usés dans le rituel furent tués dans l'explosion avec le démoniste Réprouvé, mais peut-être cela sauva beaucoup, beaucoup plus de vie encore. Ainsi que la réussite de notre fuite. Le chaos était présent, sous la tempête frappant avec force sur nos casques, assourdissante, et nous nous sommes retrouvés ensemble à l'assaut de la Prêtresse des Mers qui fut littéralement massacrés par les armes des camarades, sans lui laisser de chance de nous faire risquer une nouvelle fois nos vies dans le froid intense. Bien que la statuette fut abimée, sa magie s'échappant lentement, ce fut quand les Naga la touchant furent tués que la tempête cessa brusquement. La pluie diminuant en intensité, les nuages disparaissant à une vitesse irréelle. Nous nous retrouvions ensemble dans les environs, épuisés, blessés, ou pire. La tempête s'achevait, et l'espoir lentement revint de pouvoir nous échapper d'ici rapidement.

Les flots s'apaisèrent, pendant qu'il était visible au loin des flots l'embarcation des Fils du Kraken qui approchait doucement, non loin des navires de la Horde qui avait été prit par le tourment des vagues. Celui ci ayant été achevé par les tirs des canons émettant de lourd bruit fracassant, laissant voir le bateau s'effondrant très lentement dans la mer, des flammes et des fracas explosifs secondaires rugissant des réserves de poudre. S'approchant vers nous, marchant sur une plage se dévoilant à nous depuis que la fureur des tempêtes s'étaient apaisés, la Horde attaquait. Les hurlements de la fuite se partageaient en même temps que la fureur des explosions arrachant des cratères et des vies pendant que tous essayaient de rejoindre les barques, poursuivit par les forces de la Horde. Tout n'était que chaos, et dévastation, mais il fallait tout de même poursuivre et atteindre le pont. La Horde n'était pas désireuse de nous laisser partir aisément après coup, autant que les rares Naga survivant luttèrent contre les deux factions, agitant leurs lances en étant retenu par les fils du Kraken, défendant la progression des barques. Cela ressemblait horriblement à un baroud d'honneur, alors que nous reculions en marchant sur nos morts, et ceux de nos ennemis, repoussant comme on pouvait la Horde, mené par le Garde de Sang rugissant en armure d'ébène et de rouge écarlate inquiétante. Les ruines étaient envahie, mais l'artefact de la Statuette d'Azshara avait été entièrement utilisé par Hegins pour faire venir le navire plus vite, et faire s'écraser les navires de la Horde les uns contre les autres, nous offrant une sortie. Reculer, se battre, reculer, voilà le mot d'ordre de notre fuite désarticulée et sauvage pour protéger les civils qui eux, paniquèrent quand des chevaucheurs de loups eurent contournés nos défenses. Plusieurs tombèrent avant de pouvoir intervenir pour les sauvés, ils désiraient nous arracher tout signe de victoire, même après que plusieurs civils furent déjà sur le navire maintenant en sécurité. C'était notre tour de parvenir jusqu'à celui ci, progressant sur la plage dans des myriades de bottes frappant le sable, avant de pouvoir partir, abandonnant tragiquement nos morts dont j'ai faillis faire parti, trainée par le Major Rocan qui me fit sortir de là, blessée à la hanche et souffrante. Les barques s'éloignaient, sous le tir de ceux portant encore quelques armes, empêchant les guerriers de la Horde de nous achevé. C'était fini, c'était une victoire arrachée après des énormes efforts. Notre dispersions et nos soutiens étaient les éléments-clés qui nous avaient permit de nous enfuir. Les étendards de la Horde tournoyaient sur la plage, prouvant une ultime fois que Orneval était à eux maintenant. Nous avons arracher une victoire pour la survie des peuples. Ils ont gagnés la Guerre pour Orneval même.

Sur le long des flots, nous étions ballotés tranquillement par les vagues nous berçant contre un pont de bois humide. Les civils étaient vraiment nombreux, ainsi que nos camarades, qui pour certains furent perdu, mais tout les éléments désignaient le fait que nous aurions pu recevoir d'énorme problème – Le démoniste, le démolisseur, ou encore la sorte de titanesque créature aux gantelets foudroyants, si ils n'avaient pas été happés avant de rejoindre la statuette, et faire venir le navire, il aurait peut-être été détruit, ou nous nous serions échappés avec un tier des survivants qui jouissaient du repos. Larmes de joies, larmes de peines, larmes de douleurs étaient partagés entre la cale et le pont, pendant que le bateau quittait rapidement les rivages de Zoram, oubliant une Orneval perdue, pour faire cap vers Darnassus. Pour les civils, mais pour nous, c'était direction Sombrivage. Il était temps de nous joindre à l'effort de guerre pour repousser la Horde le temps que la Flotte Darnassienne ou les potentiels renforts de Hurlevent parviennent jusqu'à nous. L'espoir vivait encore, et de nombreuses vies ont été sauvés. Ce soir, nous goutons au meilleur repos qu'il nous ait été donné d'avoir depuis une longue, très longue, semaine."

- Eïffy Aubéclat.
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Jeu 26 Juil - 3:52
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-deuxième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Le voyage sur les flots dura un temps, où l'ambiance était entre la fatigue profonde et les réjouissances d'être parvenu à cette dernière étape. Elle aurait été plus simple, sans les confrontations navales. Notre première mauvaise surprise fut un matin du trajet, alors que tout semblait calme en naviguant sur une brève brume voilant à peine le navire qui approchait, le branle-bas de combat s’entamant dès que fut identifié les couleurs de la Horde, se mêlant aux fracas des boulets à chaque son du tonnerre des canons. Des problèmes, des morts supplémentaires sur les vies qui furent sauvés, j'étais étrangement impatiente de pouvoir quitter le bateau en laissant partir les civils sauvés – Cela voudrait dire qu'ils ne risquent rien, et que nous pourrons poursuivre les combats dans un territoire en guerre, et pas une terre conquise. Si seulement tout pouvait être aussi simple, mais entre les maladies, les vieilles blessures, la fatigue, la nourriture dont il fallait bien faire attention. Tout n'était que des petites attentions pouvant déterminé la vie et la mort des nôtres. Après deux longues journées de voyage, il était temps de voir notre objectif : Daldaneth, un village isolé dans le sud normalement en sécurité où nous attendrait quelques membres des forces Darnassiennes pour pouvoir rallier le front de bataille face à la Horde, le Mur de Feu-Follet n'étant pas suffisant pour empêcher le passage d'une armée aussi terrible. La bataille était déchirante, et j'espère franchement que les anciens de la Nature seraient suffisant. Depuis Daldaneth, nous recevrons nos ordres des troupes de Darnassus même, et les civils repartiraient avec le navire des Fils du Kraken ayant déjà tant subit. Sur le pont, la Caporale Lyndell ainsi que les fantassins Redmayne, Blanc-bois, Hargo, Mentell et Hegins étaient présents, ainsi que les rangers Gazim et Yerlha, accompagnés de la moniale Liu et de l'officier Fangfire. Il était temps de discuter de quelques stratégies, d'objectifs ou encore de reprendre en mémoire quelques unes de nos péripéties en Orneval. Le point logistique n'était pas bon – les ouvrages technologies n'auraient pas beaucoup de ravitaillement, et encore moins auprès des forces Kaldorei. Pourquoi aurais-je de quoi préparer des explosifs ou réparer des instruments gnomes, après tout ? Daldaneth, là où nous quitteront les problèmes, jusqu'à ce que le cri du guetteur nous alerta, suivit de ceux de quelques marins surpris. Pile au moment où j'affirmais que tout irait bien, l'annonce sonna comme une douche froide : Daldaneth était en feu, vaincue, et deux navires de la Horde engageaient le combat contre un navire Kaldorei, un autre navire elfique coulant déjà lentement dans les flots. La guerre, était là.

Une bataille navale est une manière d'organiser une stratégie de manière bien, bien différente des combats sur terre. Il faut prendre en compte le vent, les possibilités, les déplacements, et parfois tout ça est bien plus important que la force de frappe du navire en lui même. "Sais où est ta place, et tu sauras où vaincre l'ennemi.", disait souvent mon Père quand il m'enseignait les rouages de la navigation aux mouillages des Voiles du Soleil, où je suis née. Peut-être que cela allait enfin devenir utile, pendant que notre embarcation pleine de civile se ruait en avant. Je sais bien ce que vous me direz : N'est-il pas ironique de mener une charge navale avec autant de risque ? Il l'était encore plus de passer outre et de devenir des proies pour la Horde tout en abandonnant nos alliés. Il était temps que cette fière embarcation des Fils du Kraken traverse sa dernière épreuve. L'un des navires s'orienta brusquement vers nous, pendant que l'autre continuait d'essayer d'en finir avec le dernier navire elfique subissant les tirs de ses effroyables canons. Installés face à face, des orcs rugirent en se ruant sur notre pont, et l'ogre massif envoya un gobelin bourré d'explosif. Celui ci ricanait, il allait mourir, mais le panache de sa fin serait surement pour lui une des meilleurs qu'il soit possible de lui offrir. Cela l'aurait été, si il n'avait pas été réceptionner par Yerlha pour le renvoyer à l'eau, se noyant lentement sous le poids des explosifs. Fin. Les orcs luttaient dans le rugissement des armes pour reprendre le contrôle du pont, un des combattants de l'équipage fut brusquement tiré par un tir du navire s'écrasant sur le pont, envoyant Hargo s'envoler au sol, et massacrant le pauvre bougre scindé en deux. La bataille avait définitivement éclaté, et plusieurs d’entre nous se ruèrent sur le pont adverse pour s'en prendre à leurs combattants. La stratégie était simple : L'Unité Fordragon s'emparerait du navire de la Horde à bâbord, pendant que notre bâtiment tirait avec fureur sur celui poursuivant les Kaldorei. La première volée marcha à merveille, dans un grand bruit de destruction lointaine. Hegins avait permit à Gazim d'entrer à l'intérieur de la cale, rapidement rejointe par Alden qui ralentit les gobelins à la préparation de leurs canons, Drekhus harcelant leur capitaine pendant que je luttais avec Hegins. C'était une véritable bataille pour le contrôle de ce maudit pont, et au moins, rien à craindre de l'Ogre : Celui ci avait explosé subitement quand Liu mit feu au Gobelin qu'il se préparait à projeté vers notre navire. Un premier coup dur, pour une action très maligne, mais c'était loin d'être suffisant. Gazim découvrit dans la cale des survivants civils et des gnomes, pendant que le Réprouvé jouait avec une étrange pierre, un cristal blanc-bleuté reluisant d'une aura d'or. Et les problèmes s'enchainèrent rapidement.

Le navire elfique fut sauvé par un tir bien ajusté là où Liu indiqua, suivit par une réaction rapide de James. Ils firent la poursuite du navire s'échappant pour l'empêcher de procéder à un harcèlement dangereux, Yerlha bondissant sur le pont en guerre pendant que le bâtiment des Fils du Kraken s'éloignait en essayant de trouver une manière de conserver son adversaire à tribord. Nunthas fut envoyé en sabotage, prouvant l'efficacité des Ren'dorei en manière d'actions rapides à travers le vide. Mais la bataille n'en était pas encore là – des tonneaux rempli de cendre furent balancés sur les flots pour exploser contre son poursuivant. Si deux furent écartés, le troisième explosa contre le flanc en emportant deux marins et en repoussant brusquement Liu. Le navire était immobilisé, même si Lyndell tua le gobelin responsable des tirs sur les tonneaux, le premier n'avait pas été arrêté et cela permettrait aux canons de ne pas être recharger à temps. Le navire dévasté par les tirs sur le pont et sur ses flancs avançait rapidement, il ne pouvait faire que ça : Progresser en vitesse, trainant ses morceaux dévastés par les assauts de notre bâtiment, espérant que son éperon suffirait. Puis le sabotage de Blanc-bois fonctionna, lui disparut à travers le Vide en se retrouvant à nage vers le rivage, s'épuisant comme jamais, et laissant derrière lui une formidable explosion des réserves des saboteurs gobelins. Ne laissant qu'une carcasse errante sous les acclamations des marins et des troupes, alors que Drekhus signala aux autres sous sa forme d'un magnifique oiseau en vol, que nous étions en grand péril. Effectivement, car sur l'autre embarcation, la moitié de l'endroit à explosé quand Gazim frappa la petite pierre, et fut bien heureux de ne pas finir désintégré comme le Réprouvé qui aurait été très intéressé par une étude de se phénomène si il n'avait pas été trop occupé à être réduit en cendre. Au moins, les civils furent épargnés de ce ravage, et nous avions déjà pu abattre les occupants du ponts restant. Libérant les civils de la cale coulante, nous avons été récupérés par les nôtres sur des restes sombrant dans les mers. Il était temps de repartir sur les côtes pour rejoindre la résistance, avec un regard pour Fangfire, après tout ce que nous avons vécu, il était dur de se séparer d'un camarade de guerre qui devait s'occuper des civils : Eux d'abords, eux avant tout, après tout ce qu'ils avaient vécu, il était temps qu'ils puissent savourer la vie et la paix. Nous installant sur la barque, en voyant Fangfire remonter dessus pour disparaitre vers son navire, et s'éloigner rapidement vers Darnassus avant que la Horde ne revienne. Mais pour nous, la forêt nous attends. On y était enfin : Sombrivage en guerre, et nous dedans. Sans responsabilités des civils, sans devoirs de veiller et de sauvetage. Dans la pulsion même de se battre pour gagner.

Des problèmes étaient éparpillés, entre le Chaman désireux de briser les liens des hippogriffes des guerrières, les lances-glaives sabotés, et l'Ancien en feu. Tout n'était que chaos, et nous avons pu diviser nos forces pour participer aux sauvetages nécessaires. Ce qui fut naturellement impossible à produire à cause du surnombre des soucis, et la dresseuse fut malheureusement décapitée par les sauvages hurlants, les hippogriffes s'éloignant dans les cieux. Mais il n'était pas moment de nous occuper de cette nouvelle injustice provoquée par la Horde, pendant que Yerlha et Sacha s'installaient au côté des Sentinelles brisées, moralement et physiquement, réuni autours d'une jeune Prêtresse dont la mentor avait été retrouvé morte sur la plage où nous avons débarquer. L'orbe d'Elune fut brandit par la jeune quand Yerlha lui fournit, et sa lumière éclata autours des survivantes, repoussant brutalement les Grunts et le Tauren qui exigeait qu'elles se rendent pour survivre. Ce Tauren fut notre prisonnier, annonçant qu'il œuvrait pour la paix, simplement pour l'espoir de la Paix de ce monde. Définitivement, je ne sais pas à quoi jouer la Reine-Câtin de Fossoyeuse, mais sa conception de l'honneur s'approche définitivement du chaos mondiale et vicieux, mais à quoi s'attendre de plus de l'héritière du Roi-Liche ? Drekhus aidait Gazim et Blanc-Bois à empêché la destruction des Lances-glaives, massacrant les Grunts, mais Gazim avait une telle haine envers les gobelins qu'il se rua en direction des fuyards pour en abattre un brusquement, pendant que les deux autres, ce qui ne fut pas suffisant, éloignèrent les explosifs. Un des Lance-glaives fut épargnés, mais l'autre vola en fumée dans un puissant fracas. Une arme de moins pour réussir à reprendre Doldaneth, et cela nous coutera peut-être cher. "La vengeance ne t'apporte qu'une récompense dans l'instant ,et des problèmes dans l'avenir", me disait souvent mon père. De mon côté, nous luttions contre les Troll et leur énorme chauve-souris harcelant l'Ancien en feu, qui fut libéré par Drekhus et l'appel de la nature quand le vent porta les eaux autours du pauvre Protecteur de la nature. Le massacre des trolls fut effectué à grands efforts de camaraderies, mais Yerlha et Lyndell intervinrent pour abattre ceux qui se dandinaient autours de nous en nous assaillant. L'Ancien sauvé fut guéri lentement par les effets de la nature, et les troupes sauvés furent ralliés dans les bois autours de la ville perdue. Il ne s'agissait que d'attendre la venue des renforts pour reprendre les ruines, et s’intéresser à la raison pour laquelle la Horde s'en est prise à celle ci. Proche de la ligne de front, c'est déjà une grande raison, mais est-elle la seule ?

Quelques ruines pour nous protéger, des rations, quelques tentes furent descendu de l'embarcation elfique survivante qui apporta toutes les ressources possibles pour nous préparer au siège. La Horde avait reculé, et j'ôsais espérer, installée dans un coin de ruine à écrire ce rapport pendant que le sommeil me gagne, j’osais espérer pouvoir profiter d'une nuit de sommeil confortable. Depuis plusieurs jours, entre l'attaque de la Forestière Sombre sur le refuge, et l'assaut du navire de la Horde au milieu de notre route, je n'ai pas vécue de véritable nuit. Puisse cela arrivé enfin ce soir."

- Eïffy Aubéclat.
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Ven 27 Juil - 4:30
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-troisième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"La nuit fut insupportable, alors que j'avais tant espéré un peu de tranquillité. Les forces de la Horde se ruèrent hors de Daldaneth vaincue pour assaillir les bois, et le conflit devint une intenable bataille de position sous les tirs d'un démolisseur installé plus en hauteur. Toute la nuit, ce fut ainsi : Repousser, faire reculer, et nous cacher quand des explosions terribles résonnèrent dans les arbres en emportant quelques vies. Le Druide-Ours que nous avons sauvé dans Orneval y perdit la vie, en luttant d'arrache-pied pour défendre son existence coûte que coûte, il nous fut arraché par l'acier et la rage de la Horde qui tuèrent bien des nôtres. Gazim réapparut, blessé après un échec de sabotage que la Horde repoussa, et une certaine "Sinae" et ses bêtes revinrent avec quelques prisonnières secourues pendant l'assaut. Tous se donnèrent les moyens de protéger nos acquits, mais l'absence de nos alliés des Fils de Kraken nous laissa un léger poids sur la conscience : Va t'on perdre plus d'allié qu'en recevoir au fur et à mesure que cette guerre se poursuit ? Mais la Horde fut finalement repoussée à l'arrivé du Capitaine Tisse-étoile et des troupes Darnassiennes venues pour libéré Daldaneth et s'occuper des civils rescapés, pour le peu hélas qu'il en restait. La journée se poursuit en regardant une citée vaincue aux drapeaux de la Horde, sauvage et puante, flottant au dessus des flammes, protégés de manières irréelles des étincelles glissant sur le tissu. Nous avons vécu une journée entière en supportant les bois ravagés, la peine et les larmes. S'installa une petite routine de surveillance et de débat stratégie qui étaient souvent balayés par la témérité de la Capitaine qui voulait simplement envoyer ses forces en avant pour briser les forces des Orcs et sauver des potentielles vies encore présente dans la ville. Je comprenais cet acharnement, et m'en inquiétait du sorts autant des soldats et des citoyens, car tout ne pouvait être réglé que dans plus de sang et de larmes. La journée avait été bien entamée, quand l'ordre de partir libéré la ville après cette nuit infernale tomba comme tombe la hache du bourreau sur une gorge s'y attendant mais désireuse qu'elle ne vienne jamais. Dans les bois, se trouvait le Sergent Sen'dyl, en compagnie de Yerlha, la moniale Liu, la fantassin Hegins et moi même. Il ne restait pas grand chose de notre force de frappe, les autres blessés, fatigués ou moralement affaiblit par cette histoire n'étaient visiblement pas en ordre pour partir à l'assaut. Mais on ne pouvait pas abandonner l'assaut Kaldorei, c'était là peut-être que le courage devait être clairement plus important que le nombre. Que la force devait dépassé le pouvoir des armées. Il était temps, dans ce genre de situation, de comprendre le sens du mot "Héros", de s'en abreuvé et de le mettre en implication. Celui même qui consiste à nous battre, et peut-être à mourir en essayant.

Notre décision était de prendre l'ennemi à revers, fonçant rapidement en direction de la côte en marchant sur la plage trempée et encombrée de nombreux restes, et parfois de cadavres encore laissés à l'abandon, même de notre troupe. Les forces Kaldorei se hissaient à l'assaut de la ville dans le fracas des armes et des hurlements des félins de guerre feulant contre les grondements des gorges sauvages des Orcs rugissant. Une pointe de frustration de ne pas être auprès du fer de lance me gagna, mais il y avait peut-être mieux à faire en infiltrant cette maudite ville dévastée. Fonçant en avant, éclairée par la journée et le manque d'obstacle pour être camouflés, il fut visible les premières difficultés en avant – Le pont de Daldaneth était en ruine, dévasté par la guerre, il fut le premier saboté par les efforts de la Horde tout comme les navires elfiques furent ravagés. Un navire revenant de Nazj'vel était au sol, éventré et rempli d'ombre en pleine activités. Les troupes décidèrent de partir découvrir ce que la Horde pouvait bien tramer sur les côtés, et nous nous sommes rués en vitesse pour empêcher que celle ci ne provoque bien des soucis dans le dos de nos alliés. Même si nous n'avons pas pu obtenir grand chose, certains mystères furent dissipés pendant l'intervention rapide mais difficile – Des grunts protégeaient l'accès, et nous furent harcelés par leurs tirs d'arbalètes s'écrasant sur le sable et parfois sur nos armures. S'installant auprès d'un Feu-follet isolé, ondulant tranquillement, un Chaman se trouvait sous le pont à l'autre bout, visiblement concentré. Un Navire Gobelin approchait lentement, en direction du navire éventré dont des gobelins extirpait des caisses elfiques pendant que le déchiqueteur sciait les passages rendu inaccessible par le ravage. Pendant que nos camarades luttaient contre des Grunts, nous avons foncés vers Hegins vers le déchiqueteur, le privant rapidement du Gobelin le pilotant, mais il n'était pas le seul responsable. Un Ogre s'extirpa de la carcasse en rugissant, un Gobelin installé dans le dos en le gavant d'une étrange potion, s'écrasant lourdement sur nous. Ses fioles étaient aussi dangereuses que la bête qui frappaient dans toutes les directions, mais son maitre fut criblé de flèches, pendant que je me chargeais de mettre fin au danger qu'il incarnait par ma lame. Yerlha avait fait captive la Taurène qui protégeait le Chaman, qui fuyait vers la plage avait avoir accomplit son forfait – Le Réprouvé, maintenant scindé en deux morceaux fumant d'une lumière purificatrice, lui avait ordonner d'utiliser les éléments pour faire approcher rapidement le navire Gobelin, qui nous arriva dessus à grande vitesse. Les problèmes n'étaient pas fini, car ils allaient bien parvenir à récupérer les caisses malgré tout.

L'énorme pince d'acier prenait les plus gros conteneur, mais nous avons pu récupérer quelques caisses des mains des hobgobelins fuyant rapidement. Nos lames ouvrirent plusieurs gorges, mais ce fut après avoir faillit être tuée par un carreau d'arbalète que je me décida à disparaitre brusquement à travers le vide, passant d'un lieu à l'autre pour fendre de ma lame les Arbalétriers toujours installés sur les hauteurs. Pour moi, débutait un combat difficile dans le tintement des armes s'ajoutant aux bruits de la bataille se rapprochant dans la ville. De mon initiative, je me sentais vraiment seule et désemparée de devoir me battre loin des autres. Ceux ci luttèrent face aux forces de la Horde essayant de faire disparaitre les caisses au plus vite, dans le brut puissant du canon du navire frappant contre la plage en essayant d'abattre l'Hydre de Sen'dyl. Le Chaman réussi à partir rapidement, fuyant sous une forme d'un loup spectrale étrange s'échappant du combat qui tournait lentement vers notre avantage quand les Grunts furent finalement vaincu, gisant sur le sol, et d'urgence le gobelin servant de contre-maitre fut capturé rapidement à grand coup de poing. Deux captifs, et trois caisses récupérés pendant que le navire gobelin décida de partir avec ce qu'il avait mit en sécurité dans ses affaires, et quand l'Hydre arracha une plaque de métal du bord du navire, il décida qu'il n'était pas si inébranlable, s'éloignant en abandonnant ses alliés sur la plage dans quelques derniers tirs qu'il fallait d'urgence évité. Pendant que je traitais mes blessures sur le pont, en me demandant si il fallait que j'aille seule ou que j'attende les quelques troupes me restant, mais ils arrivèrent avant que je n'ai à trouver véritablement une réponse à cette question. Derrière eux, les prisonniers furent mit en sécurité ainsi que les trois caisses – contenant des cristaux brillants que la Horde tout comme les officiers nomment Azerite, un véritable reflet de pouvoir qui pouvait nous submerger facilement si on ne faisait pas attention à prendre du recul vis à vis de cette force qui semblait tournoyer autours de chaque pierre. Du pouvoir à l'état brut, effrayant, inquiétant, mais réel. Cependant, ils ne furent pas prit par la tentation de s'en servir et les scellèrent dans les caisses, là où ils les récupéreraient aisément après la bataille. Entrant à l'intérieur des ruines, le chaos était omniprésent, les troupes Darnassiennes bloquant contre les grunts, un démolisseur frappant dans leurs rangs, plusieurs des guerrières tuées par les ravages des explosions, empêchant le Lance-glaive d'approcher. Les forces du Major Rocan, des survivants de Theramore, se battaient comme des fantômes d'un passé brisé, usant de son épée en rugissant vers le Sin'dorei tournoyant dans les cieux, non loin de l'Ancien protecteur affecté par la Trollesse et sa camarade Sin'dorei s'occupant de la domination de la horde. Nous ruant à leur aide, il était temps de rentrer dans la véritable mêlée.

Le démolisseur fut assaillit par nos troupes en urgence, pour libérer les forces Kaldorei. Moi et Hegins renforcèrent les forces de Rocan, dans l'étendue du conflit qui se libéra toutefois rapidement. La clé n'était pas spécifiquement de renverser l'ennemi, mais la récupération du Feu-follet sous le pont était bien plus important que prévu, alors que tout se déchainait autours de nous, il y avait cette lueur d'espoir. Les combats étaient déjà détonnant, et le démolisseur fut gravement abimé, achevé par le jet d'un explosif qui le fit lentement s'écraser en bat de son promontoire dans un grand bruit d'acier résonnant et de bois brisé, laissant au sol les corps des Orcs dont un fut prit dans l'acide de l'Hydre, ce qui n'était vraiment pas beau à voir. Notre lutte face aux Grunts s'arrêta quand le Feu-follet tournoyant au Puits d'Elune, se sacrifia pour subjuguer le pouvoir de ce lieu, rayonnant autours de nous en inspirant les troupes et mettant les Orcs à terre dans un bruit d'une onde de pouvoir ressemblant bien plus au chant magnifique d'une Prêtresse à la voix mélodieuse. C'était sublime à entendre et tous reprirent du cœur à l'ouvrage, si ce n'est nous autres Ren'dorei à qui la Lumière n'est pas vraiment un facteur d'envoi de nos forces dans la bataille. Prendre la ville, c'était en finir avec la Trollesse, et c'est ce que nous fîmes massivement après avoir fut la dépouille empalé par le carreau d'arbalète de Rocan étalé au sol, dans une longue agonie digne des Fantômes de Theramore. La ruée fut hurlante, mais l'opposition inattendue : La maléficieuse fit pénétré de viles esprits dans les dépouilles des Grunts tombés qui se relevèrent, dans des bruits de combats supplémentaires. La Sin'dorei essaya de se replier, mais Sen'dyl et Yerlha ne furent pas d'accord avec sa tentative en finissant par la propulsé agonisante elle même dans son propre mur de feu. Ils n'eurent aucunes pitiés pour cette mage, et il ne resta de sa dépouille que des morceaux de chairs fumants. Malgré le sacrifice d'un des derniers soldats de Theramore, empalé par une Lamepoing qui le transperça brusquement en écartant son armure de métal comme si ce n'était rien, et la responsable ne pu pas s'échapper. Elle reçu la lance d'Hegins pour la renvoyer vers le sol quand on aspect se mue lentement en une ignoble chauve-souris, et ma lame s'occupa avec honneur d'en finir avec sa vie. C'était fini. Notre combat était fini, après tant de difficulté, et les bannières de Darnassus furent soulevés au dessus des bannières de la Horde en feu. Daldaneth, du moins ce qu'il en reste est à nous, mais pour combien de temps ?

Les troupes arpentaient les ruines dévastés en essayant de retrouver des ressources, des vivres, des rescapés, tout était une bonne raison d'occuper son esprit. Pour ma part, je pu observer de mes propres yeux l'Azerite, ce minerais que je n'avais pas vu depuis l'époque du Concordat du Lion, passant mon gantelet au dessus des pierres avec l'impression que sa force m'affectait. Il était surtout temps de me reposer peut-être cette fois, convenablement, si proche du front de guerre. Mais maintenant, quel sera notre prochaine objectif ?"

- Eïffy Aubéclat.
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Sam 28 Juil - 4:58
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-quatrième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"La tranquillité nocturne fut une des plus belles bénédictions qu'on aurait pu demander après tant de souffrances et de difficultés. Petit à petit, s'articulait les différents problèmes pendant que la bataille était toujours présente dans le sud continuait d'être aussi sanglante et enragée, les guerriers ne désiraient vraiment pas reculer de leur objectif de guerre, mais petit à petit les prémices d'une raison apparaissait. La situation de Nazj'vel est sans équivoque et réaliste – L'azérite, des tels cristaux méritaient donc vraiment le déclin d'une nation entière et une guerre totale en ce monde pour des pierres brillantes détentrice de sens même du mot "Puissance." Les diverses excavations gobelines débutèrent déjà alors que les combats étaient encore actif, c'était d'un ridicule acerbe – Que pouvaient-on vraiment attendre des créatures avides de richesses et de grandeurs ? Et pourtant, la question sur l'instant avait du sens car c'est précisément avec ce genre d'être qu'il nous faillait discuter pour essayer de recevoir plus d'informations sur notre situation et trouver des solutions pour assurer nos arrières. L'idée vint du Soldat Claire Hegins, une brave régulière qui avait malheureusement perdue son casque lors de la dernière intervention, mais qui à hélas subit la plus part des confrontations et des blessures qui vont avec. Nous discutions avec un de nos fantassins, accompagnés de Redmayne, Shyfern, et Mentell, ainsi que la Moniale Liu. Le choix était d'aller converser avec le Gobelin encore captif installé au dessus de l'eau au cœur des ruines de la ville, les pieds attachés par une corde alors qu'ils pendouillait doucement en l'air, tenue par une Sentinelle qui pouvait, si il était trop bruyant, lui mettre la tête dans l'eau pour étouffé ses râleries incessantes. Si c'était amusant à voir, c'était bien peu constructif, et nous avons laisser une haie d'honneur pour laisser Liu en discuter en utilisant son panache habituel Pandaren qui sait trouver les mots justes. C'est pendant la conversation que Shyfern fut curieux d'entendre un bruit trop proche, attrapant sa longue vue pour scruter les environs, mais ce n'est qu'en scrutant les cieux qui découvrit vaguement la silhouette aérienne des machines en approche depuis le nord. Comme nous l'avons vu plus tard, des machines gobelines comme des têtes moqueuses de gobelins rôdant dans un ciel couvert de nuage. Quand le bruit d'une mécanique, et un cylindre nous fonçant dessus, son apparut, nous avons bondit dans toutes les directions pour nous mettre à couvert pendant que l'explosif détonnait sur le corps du gobelin éclatant en milles morceaux, balançant Liu dans l'eau brusquement, ainsi que plusieurs des nôtres, et la Sentinelle frôlant la noyade. Ils venaient de faire disparaitre les preuves. Mais il y avait un espoir de mettre la main sur les gobelins retournant chez eux.

Partant vers le nord, nous avons quittés sous les regards inquiets des Sentinelles, parfois dédaigneux de nous voir quitter le front vers le sens inverse là où on aurait surement espérer nous voir partir au sud frapper contre la Horde, il y avait cependant peut-être plus de problème qu'attendu à un lieu à proximité. Le voyage fut long d'une heure, et couvert de divers petits problèmes particulièrement triste, ou dangereux, mais rien qui ne nous empêcha de progresser vers notre destination. Un ancien mort fut retrouvé, de terrible blessures infligées par ceux qui l'ont massacrés, ainsi qu'un Druide installé devant son chevet, les yeux clos, et les larmes coulantes le long de ses yeux. C'était un spectacle affreux que de supporter la vision du druide ayant perdu celui qu'il honorait, mais pour nous il n'y avait eu que peu de temps pour nous apitoyer sur une telle scène, car les embusqués venu achevés l'ancien, et avaient visiblement réussi, tentèrent de nous massacrer au passage. Ils furent mal tombés de penser tomber sur des arrières en patrouilles pour s'écraser sur une troupe ayant pratiquement que des vétérans dans leurs rangs. Progressant après avoir fait tombés un Orc ayant rendu fou des Furbolg, parvenant à en apaisé deux pour en rallier auprès de nous par esprit de vengeance envers ses oppresseurs, tout en suivant encore la piste, ce sont des bruits de fracas lointain qui furent audible loin de là dans des fracas ardent qui surgirent. Une heure de voyage, si ce n'est plus, s'étaient déjà passé et nous étions censés être plus éloignés des lignes de fronts pour que des bruits de batailles surgissent. La Horde apprécie définitivement essayer de nous passer dans le dos pour atteindre ses objectifs ? Maudite soit-elle. Des bruits d'un conflit naval était vaguement audible, mais pas que, et c'est la Caporale Lyndell qui nous avait rejoint pendant le départ vers le nord qui fit mouvement à l'emplacement suffisant pour prendre l'adversité de dos. Et ainsi ne pas nous mettre en danger en sortant de nulles part pour découvrir la scène, et quel scène. Une énorme machinerie dont le canon ressemblait à une gueule de loup en acier était installé au dessus d'une mécanique d'une grande complexité, ou de folie gobeline tout du moins. L'Hobgobeline préparant une caisse étrange à l'intérieur du compartiment fait pour préparer les tirs. Des Trolls s'occupant sur la plage de piller une barque, sous la supervision d'un Orc massif, et de quelques grunts isolés discutant entres eux. Au loin, une bataille navale confrontait le navire des Fils du Kraken revenu visiblement vers nous, à une embarcation de la Horde. Mais au vue de la machine volante tournoyante au dessus, nos alliés étaient visiblement en mauvaise posture. Il était temps d'agir en vitesse.

Les troupes se ruèrent en avant pour atteindre deux objectifs : Les prisonniers sous le joug de tourmenteur Orc les bousculant un peu, deux Sentinelles mais aussi et surtout le soldat en tenue de Hurlevant ayant subit l'envoie à travers le portail de Telogrus pour nous retrouver d'urgence après la fin de la formation. William Winter, notre cher camarade, avait été retrouvé en bien mauvaise posture. La bataille éclata dans les environs en subissant les assauts pendant que je me battais une nouvelle fois avec Redmayne, épaule contre épaule, ce qui nous arrivait vraiment régulièrement. Bataillant contre les Grunts pour progresser, cela ouvrit l'accès à Liu d'empêcher les gobelins de provoquer une quelconque catastrophe incontrôlable en envoyant ceux ci au sol avant d'être brusquement agressée par le grossier Hobgobelin la saisissant dans le dos pour la soulevé. La ridicule créature ne fut pas un problème, et lentement la situation fut stabilisé par nos forces qui libérèrent Winter en provoquant un atout essentiel : Sa formation de Paladin avait commencer à porter ses fruits, et il évoqua la Lumière, pas comme un véritable Croisé de vertu qu'il est censé plus tard devenir, mais comme cet aspirant inspiré qui beigna ses alliés dans la Lumière sacrée. Ceux ci se ruèrent à l'attaque, et les conséquences sur nos ennemis furent terribles. La curiosité fut quand même l'action du Contre-maitre Orc qui étrangla Mentell sous la forme de l'Ours massif qu'il était devenu, l'utilisant pour le balancer contre Hegins et Shyfern en les envoyant au sol, dans une action plutôt rocambolesque. Ce combat s'acheva doucement, mais les flots étaient encore bien agité après que la bataille navale tourna lentement en faveur du navire du Kraken, abandonnant la poursuite de l'embarcation de la Horde enflamme qui fuyait rapidement vers le sud, ravagé. La machine volante errante dans les cieux continuaient son harcèlement face au navire en difficulté devant son manque de forces anti-aériennes. Nous avons donc pris le contrôle du canon, après une courte conversation concernant le danger à en faire usage, et c'était justifier. La machine explosa en milles morceaux devant la violence du projectile que les gobelins avaient prévu : Puiser dans le pouvoir de l'Azérite sans préparation fut catastrophique, et nous avons été éparpillés au sol. Mes troupes n'avaient pas grandement souffert, mais je ressentais la douleur atroce de l'éclat de métal dans la cuisse. L'avion de bataille gobelin fut happé par le trait de pouvoir qui fit brutalement chuté dans un grand bruit de fracas. Si seulement c'était la fin.

Trainée au sol devant les fracas des cylindres explosant sur le sable, nos forces chutant au sol, après avoir été rapidement traitée par notre Druide. Une des machines volantes fut abattue par miracle par un tir merveilleusement chanceux et bien placé de Konigen, l'explosion résonnant dans la forêt, et nous progressions encore vers le nord à la poursuite de la dernière machine nous harcelant. Le navire des Fils du Kraken était en sécurité, et ils purent débarqués sur ce champs de bataille en ruine en poursuivant les traces du conflit, jusqu'à arrivé dans les flammes ardentes d'un lieu brisé par une terre brûlée. Un extracteur gobelin soutirant de naphte utilisé pour la guerre proche, autant pour les machines que pour la destruction de la forêt, j'imagine. Les monstres, des sentinelles et leurs montures carbonisées non loin alors que le Chaman s'occupait d'éloigner les élémentaires de feu enragés auprès de son camarade Tauren, qui lui semblait être perdu par la situation et son rôle. Il brisait la mère-terre par les flammes, et c'était un coup dur j'imagine. Le conflit éclata pendant que Konigen, rejoint par James, étaient harcelés par la dernière machine volante tournoyant dans les cieux dans des bruits de mécaniques affreuses. Les fantassins se fracassant aux gobelins et derniers Grunts restant, ainsi qu'à la dernière machine de surveillance grossière qui tourna sa foreuse vers nous, progressant doucement. J'avais amener Mentell, William et Shyfern directement contre le Chaman pour arrêté le contrôle des élémentaires, et si l'Orc fut brutalement tué après avoir essayer de nous réduire en cendre, le Tauren fini par abandonner ce combat pour partir errer dans les terres enflammées en essayant d'apaiser les élémentaires furieux. Hors d'être juge de tels situations, je restais terre à terre et fonçait vers la machine qui avait faillit massacré Hegins et Redmayne désormais au sol. Lentement, la situation se stabilisa petit à petit, mais pas une trace d'Azérite. Ici, ils préparaient du carburant pour leurs machines, et nous sommes parti en faisant ce que toutes personnes logiques et censées aurait fait : Faire tout explosé. Laissant Liu faire usage des flammes dans un des tonneaux, il ne resta de la machine d'extraction que de la fumée et des métaux brisés, nous éloignant rapidement pour monter sur le navire des Fils du Kraken. Leur retour était bien appréciable, depuis la bataille navale, et nous voilà rentrer ensemble vers Daldaneth après tout ses problèmes.

Notre retour, et notre nuit surtout furent calme, une sérénité apaisante malgré les retours catastrophiques d'une Horde triomphante parvenant doucement à briser les lignes de défenses elfiques. Nous sommes en train de perdre ce conflit, mais les renforts de l'Alliance ne devraient plus tarder. Il s'agissait simplement de tenir, tenir au mieux pour venger tout ceux qui furent tués. Pour l'Alliance. Mais pour l'instant, un peu de repos s'imposait dans le calme paisible d'une ruine reconquise."

- Eïffy Aubéclat.
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Dim 29 Juil - 4:56
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-cinquième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Une journée pluvieuse mais apaisante. Les nuages lourds erraient dans les cieux depuis la matinée, mais ce n'est qu'en début de soirée que la pluie se mit à chuter brusquement, autant que les eaux furent balancés brutalement dans tout les sens dans un grondement lointain. Il était vraiment nécessaire de nous faire subir tels difficultés après tout ça, que de subir la mer déchainée et les environs de vomir pour partir vers Nazj'vel ? Quel malchance. Mais il n'était pas question de baisser les bras, malgré tout, la barque nous attendait après une journée plutôt tranquille. Le repos journalier fut embarrassé par quelques appels de renforts vers le front, voyant autant de sentinelles revenir blessées, que disparaitre vers la ligne de guerre. La Horde progressait, bientôt Daldaneth sera de nouveau en pleine guerre pour sa reprise par la Horde, la ligne se fracassant par les efforts des Orcs marchant sur leurs morts et les nôtres. Ce carnage fatiguant ne durait pas depuis des longs mois comme la terrifiante campagne de la Guerre du Norfendre à nous forcer à progresser doucement dans des contrées gelées, difficile, et sur la durée. Là, c'est une bataille rapide, intense. L'ennemi ne prends pas le temps de faire la moindre halte, ou de penser ses blessures. Il progresse en avant, et il cherche à nous planter une dague dans le cœur. Une des solutions intéressantes était de coupé l’accès à l'Azérite de Nazj'vel, et c'est ainsi que deux navires se dirigèrent vers le sud en pleine tempête, balancés dans tout les sens. Le bâtiment de Fangfire n'était pas loin, portant les couleurs de l'Amiral Walter, pendant que nous naviguons sur une embarcation elfique, avec les fantassins Shyfern, Hegins, Redmayne, ainsi que la moniale Liu, le Sergent Sen'dyl et la Ranger Yerlha. Le voyage dans la petite barque jusqu'au navire avait déjà été insupportable, mais la suite le serait de plus en plus, balancés sur les eaux comme on agite un fruit dans une caisse, Hegins était sur le point de vomir, faites que ce soit loin de moi pensais-je à ce moment. Notre progression sur les eaux déchainées n'avaient rien de très facile, les temps passaient, et il fallait supporter le remous des eaux hurlantes nous bousculant dans tout les sens. Après quelques temps de voyages dans une tempête nocturne, une vague déferlant de manière inattendue, tant que les Sentinelles furent surprise de ne pas avoir pu l'anticiper pour pouvoir l'affronter correctement. Celle ci nous bouscula dans un grand bruit de bois abimé, et le cri de Frankk soufflé par les eaux, la corde l'attachant au poteau principale se cassant ,avant qu'il ne tombe à l'eau. Il fut récupéré de justesse, en armure c'était une condamnation à mort, mais le mystère apparut alors qu'il s'étranglait avec l'eau bue un peu vite. Il avait vu quelqu'un en dessous, un être, qu'il désigna comme un monstre. La peur gagnait plusieurs des nôtres, autant que Fangfire déclara qu'il y avait quelque chose de suspect dans les environs. La progression instillait une sorte de première paranoïa, qui n'aida pas quand des bruits de bois furent audibles sur nos coques.

On était en pleine mer, et pourtant, il y avait l'impression de s'approcher brutalement de la surface. Agité dans tout les sens, allant visiblement beaucoup trop vite, il n'y avait aucun obstacle devant. L'expert de la Mer, Fangfire, fit arrêté nos navires en repoussant les voiles et arrêtant toutes manœuvres. Les ancres furent projetés, et il y eu un grand son de pierre, autant que l'ancre semblait figée dans le vide sans que cela n'est de sens. Un instant après, le voile illusoire se dissipa en laissant apparaitre les récifs cachés par la magie pernicieuse, et sans l'instinct de Fangfire, on aurait foncé dedans en percutant les pierres et brisant les coques de nos navires. Mais le plus gros problème était maintenant le navire de la Horde qui orientait ses canons vers nous. La Shal'dorei mystique nous observait de haut, arrogante, et fière de sa réussite. Il fallait fuir, le Cuirassé ne coulerait aisément en supportant les moindres de nos assauts. Usant de grandes rames pour frapper les pierres et les eaux et repousser le navire en vitesse vers l'arrière, la première échappée fut fructueuse, des fracas de boulets éclatants autours de nous avec fureur en projetant pierres et eaux dans toutes les directions. Les fracas furent assourdissant et effrayant, mais nos navires étaient bien plus rapide que la force de frappe de la Horde, nous progressons avec vitesse vers l'Ouest en contournant le Cuirassé massif des Orcs. Mais les obstacles étaient encore nombreux pour réussir à nous enfuir, notamment les canons du navire massif et la Shal'dorei préparant un nouveau sort pour nous empêcher de réussir notre fuite. Les tirs se déchainèrent de différentes façons pour arrêté la concentration de l'elfe imprégnée par les magies, pendant que les canons des Fils du Kraken parlèrent. Les fumigènes de Yerlha s'élevèrent doucement, en nous offrant l'ultime couverture pendant que les nouvelles volées explosives détonnèrent autours de nous. Au loin, il disparaissait, et nous laissa l'impression que Nazj'vel serait pleine de tels problématiques qui feraient de ce déploiement un carnage sanglant. L'île se dévoilait, il y irradiait comme une sauvage puissante, pendant que la guerre faisait rage juste à côté, les explosions du front de guerre résonnaient contre les forêts et les plages environnantes. La situation très proche est délicate, et ce lieu résidait une éternelle confrontation pour récupérer l'Azérite ayant apparue en ce lieu. Notre navire accostant doucement, pendant que Fangfire nous attendait déjà sur le sable, les Sentinelles avaient l'air particulièrement démotivés et fatigués de tout subir, autant la bataille, que la disparition de leur Capitaine. Prenant le temps de discuter, d'essayer de remotiver un peu les troupes présentes, les problèmes surgirent peu à peu pendant la découverte de la situation. Notamment quand Alden fit le constat qu'un démolisseur avait décidé de venir gâché notre regroupement.

Son premier tir fut effectif, s'écrasant non loin du navire dans un grand fracas proche des barricades elfiques, propulsant une pauvre Sentinelle au sol dans un cri de surprise. Le prochain tir serait proche, et nous avons décidé d'intervenir en vitesse – Shyfern s'installa au lance-glaive sur le navire pour se préparer à tirer le démolisseur, le bloquant un instant suffisant pour permettre notre charge avec Redmayne et Hegins, les fantassins en avant pendant que le Sergent Sen'dyl guida Liu, Fangfire et Yerlha à l'assaut des Trolls dans les hauteurs, soutenu par le mage elfique. Ceux ci furent balayés par la moniale, les envoyant brutalement par dessus les hauteurs pour s'écraser lourdement au sol en bas, se débarrassant donc vraiment facilement des assaillants sur les hauteurs. Et ce malgré les efforts du Gobelin dans sa machine tirant vers eux dans un brusque fracas, ils tuèrent le mage en sauvant Yerlha d'un bien sombre trépas. C'est là que je me dis que la camaraderie de notre groupe peut vraiment évolué en bien. Pendant ce temps, notre combat était critique face au démolisseur, et nous étions sur le point de plus de perdre, d'y perdre tous la vie. Hegins était au sol, en sang, et Alden et moi étions de nouveau face à face contre tous, les boucliers levés. Ce qui devient commun avec ce camarade pour subir les assauts de nos ennemis. Les coups résonnant brusquement sur nos boucliers dans des bruits résonnants, nous avons au moins pu mettre en sûreté Hegins pendant que le Troll qui avait fait venir le démolisseur ici, crépitant de magie arcanique instinctive comme quelques rares membres de ce peuple était capable d'utiliser, Shyfern ne pouvait plus nous aider depuis le navire. Le Tauren bien décidé à arrêté le carnage, se mit à grimper dessus pour l'abattre, même si celui ci fut finalement mit aux arrêts par nos troupes, en lui épargnant la vie. Le troisième Tauren captif que nous fîmes, peut-être est-ce la seule espèce de la Horde capable d'apprécier la pitié dont nous pouvons faire preuve ? Alors que la fin approchait, nous alliés refirent surface d'un coup pour nous sortir de cette situation périlleuse, mais pas que – L'Illidari Sombrecorne fit son apparition. Je l'avais rencontrer dans les ruines de Daldaneth, découvrant une Kaldorei retrouvant ses terres avec joie, pour finalement les voir mises à sac par la Horde, ce qui tourna son ire vers ceux qui décidèrent de commettre les plus immondes des crimes. Elle écrasa le Troll massacré par Sen'dyl, ainsi que le démolisseur, jouant des glaives de guerres pour fendre quelques ennemis tout en joignant notre formation de guerre instinctivement. La Horde fut vaincue, mais la Capitaine Darnasienne n'avait pas été retrouvé. Grimpant rapidement sur notre barque en embarquant une Hegins blessée, il était temps de partir en vitesse vers sa potentielle position.

Le lieu devait être un accès vers l'intérieur de Nazj'vel, étrangement scellé d'après les Sentinelles en coinçant les mineuses à l'intérieur en les condamnant malheureusement à mort. Sauf si nous parvenons à agir rapidement, cela commençait à retrouver la Capitaine Danserêve pour rallier efficacement cette troupe de Sentinelle. Notre barque était encore balancés dans tout les sens, ce qui n'était pas bon du tout pour cette pauvre Hegins, jusqu'à arriver à notre destination, une dizaine de minutes de voyage insupportable, des fracas explosifs proches, et même quelques affrontements au large. Il y avait des cadavres de guerrières Orcs étalés au sol, face à deux Sentinelles, une Prêtresse d'Elune discutant avec notre capitaine et un Druide visiblement concentré. Tous semblaient occupés, pas spécifiquement épuisés ou blessés, et parlaient des venues de l'Alliance et de son intérêt pour Nazj'vel quand cela concerne l'ouverture vers l'intérieur pour récupérer l'azérite. Dès que nous sommes arrivés, l'hostilité de la Capitaine éclata vers nous en nous accusant de divers pillages et autres crimes de guerres en profitant de son peuple, exigeant de nous voir nous écraser à genoux devant pour être soumis à son jugement. Frankk intervient, il avait raison de le faire. Sombrecorne agit, et faillit causé un énorme problème – Shyfern envoyant sa lance vers le druide mais reçu une ondulation arcanique qui le repoussa brusquement, l'envoyant presque au sol devant son action évitant sa déconcentration. Sen'dyl se concentra pour faire disparaitre les illusions, dans une ondulation de magie relevant les antiques elfes de Suramar, les Sacrenuit, et leurs tenues magnifiques et brillantes comme d'un mysticisme inatteignable. Les combats éclatèrent pendant que Sombrecorne mit la Capitaine à terre, grièvement blessé par son glaive, alors qu'elle était la seule qui était de notre côté, affectée par les sorts et la vilaine de ceux qui se sont offerts à la Horde comme Elisandre livra les siens au démon, Thalyssra ne valait peut-être pas mieux que celle qu'elle à trahit après tout. L'affrontement du avoir lieu avec fureur avec à des adversaires très entrainés, et bien plus vétérans que certains des nôtres, laissant le fils du combat difficilement tourner en notre faveur quand leurs bretteuses furent finalement tués. L'arcaniste disparut après avoir reçu une blessure au visage, pendant que la Tisse-illusion fut exécutée après une dernière tentative de coup-bas : Essayant de se téléporter elle et la Capitaine loin d'ici pour nous arracher la victoire. Mais la capitaine était saine et sauve grâce à Liu ayant du se mettre en grand danger au milieu du combat pour lui apporter des soins d'urgences. Résultant de la réussite de notre mission.

Rentrant au camp installé sur le versant nord de la plage de Nazj'vel, nous nous sommes lourdement installés sur le navire en subissant les bruits de fond des batailles confrontant la Horde et l'Alliance au loin. Le repos nous gagna doucement, en espérant ne pas être réveillés subitement pour y retourner, ce qui était très probable. Nous devons maintenant trouver un moyen efficace de rentrer à l'intérieur des ruines, et découvrir les secrets de ce lieu lié à l'Azérite, ce qui résultat de la bataille pour le contrôle de cet endroit."

- Eïffy Aubéclat.
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Mar 31 Juil - 3:01
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-sixième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Une journée passé à l'effort de guerre où la Horde essayait de briser le mur elfique ondulant doucement comme des milliers d'esprits chantant d'une manière magnifique et reposante, puis du repos à bord de ce navire devenu bien familier même si nous y sommes restés que peu de temps. Les quelques personnes qui passèrent nous voir purent être mises au courant des dernières nouvelles, et réciproquement, mais il n'y avait jamais rien de bon à dire. J'ai passé une journée au front, et rien n'était beau à voir, même si je n'ai pas participer à beaucoup d'affrontements directement là-bas, j'avais du mal à imaginer le calvaire enduré par les Sentinelles subissant tout de plein fouet. Quel horreur. De retour auprès de nos camarades en profitant d'une nuit confortable de repos, vous avez pu apprécier un temps de paix confortable sur le navire par deux fois jusqu'à ce que les opérations s'approchent. Des passages de quelques personnes animèrent, mais c'était le visage du Chevalier de la mort qui m'avait le plus affecté, en recherche de Sang, alors je lui souhaitais de faire couler à flot celui de la Horde en espérant grandement que cela aide à notre effort de guerre. La dirigeant là où elle nous serait utile, elle serait une des diversions pour notre intervention : Parvenir à rentrer à l'intérieur du territoire et découvrir ce qui pouvait bien se tramer à l'intérieur de Nazj'vel. Nous regroupant après plusieurs discussion, j'ai pu rencontrer le Haut-commandant Campbell, revenant des rivages de Féralas en avant-garde de la Flotte Darnassienne parvenant presque vers Teldrassil. L'espoir doucement revenait du début des renforts tant espérer qui nous permettraient de tenir et de repousser la Horde. Envoyant mes rapports à l'état-major pour faire état de la situation et des nécessités, nous établissions rapidement le projet pour briser le bouclier arcanique dressé par les Shal'dorei, et mettre la main sur l'Azérite derrière. Les fantassins Renolds, Hegins et Mentell seulement étaient présents, en compagnie des Rangers Konigen, Yerlha et Gazmo, accompagnés par la Moniale Liu. Nous marchions avec les quelques forces de la 4ème Légion, si peu nombreux par rapport à l'énorme armée des renforts tant attendu de l'Alliance pour reprendre le contrôle de la situation, mais suffisant pour tenir notre libération. Pour l'instant, si la Horde désirait récupérer des ressources sur une terre qu'elle pense déjà conquise, nous serons là pour les en empêchés. S'installant sur la barque avec les troupes, nous glissons dès lors sur les eaux en entendant au loin les bruits de batailles déchainés. Il était temps de faire notre part. Et si ce n'était pas possible, nous étions prêt à aviser des explosions massives, même si cette possibilité m'écrasait la conscience, énormément.

Le voyage sur la barque était au moins plutôt agréable, et nous n'avons pas vraiment eu de soucis. Les eaux ondulait doucement sans nous bousculer spécifiquement, et rares étaient les nuages dans les hauteurs, généralement générés par les feu de forêts éloignés, ou les cendres de la guerre dévastant les environs. Notre progression se faisait doucement, contournant les récifs dévastés de Nazj'vel en y voyant parfois quelques conflits, sans pouvoir grandement y porter assistance devant l'importance de notre tâche. Les premiers soucis légèrement notable, fut pour commencer la pauvre Yerlha balancé pratiquement à l'eau, quand elle glissa en voulant sortir une Sentinelle qu'elle pensait en vie, à moitié enterrée dans le sable, ce qui n'était pas le cas. Elle était morte, noyée d'une façons horrible, et le visage de terreur mêlé de peine gravé sur son visage était une des plus odieuses façons de voir le décès d'une personne. Cela colla une ambiance morose à toutes les troupes, baissant la tête de fatigue, la guerre leur pensant d'un coup énormément sur les épaules. C'est dans cette attestation qui fut prise par des soldats comme un signe de fatigue, mais d'autres étaient plus sinistrement insensible à ça, comme si c'était quelque chose de déjà vu et re-revu pour les pauvres vétérans ayant de nombreuses cicatrices, aussi visible sur leurs corps, qu'invisible dans leurs esprit. Bousculés encore un peu par les vents, et ramant aussi vite que possible, sans pour autant nous épuisés à la table pour arriver en forme à notre destination, le second très bref arrêt fut en découvrant ce que Gazim nous fit voir : Une Shal'dorei gisait à côté de quelques orcs, massacrés par des flèches les ayant criblés au sol, le regard vide de la Sacrenuit fixant en avant éternellement, vaincue. Nous fîmes l'acquisition de son épée abandonnée en pensant clairement que cela pourrait nous être utile, et ce fut juste. Arrivant sur le passage menant vers l'intérieur de Nazj'vel, nous avons débarqués en ordonnant aux troupes de Campbell de rester aux aguets, ceux ci tiendraient bon en installant des barricades de fortunes pour couvrir l'accès ,ou du moins pour nous la sortie. Liu voulu découvrir ce qu'il se passait plus haut, mais une explosion puissante s'écrasant non loin d'elle, les Nains tirant déjà au fusil vers les Trolls installés sur leur barque en projetant des javelots. Le temps était déjà compté, et difficile de savoir ce qui nous attendait à l'intérieur – Ce fut quand Konigen glissa l'épée en avant, disparaissant dans la foudre arcanique, pointe devant, que l'accès fut ouvert au prix du sacrifice de la lame antique. Et nous sommes entrés dans ce lieu plein de mystère, et de complots abjectes.

La première chose que nous vîmes, était un Sin'dorei entouré par une sorte de paroi de magie qui ne pouvait être percée, générée par l'outillage elfique puisant dans la force d'un grand cristal d'Azérite non loin de lui. Un Apothicaire faisait des expériences non loin, le Réprouvé ne faisait pas vraiment attention à la situation, pendant que les Grunts surveillaient les sentinelles affectés mentalement par le Sin'dorei, se trainant en déplaçant l'Azérite récoltée. Nous avons agit rapidement, intervenant avec force aux différents endroits pendant que Renold s'occupait de la Druidesse qui faillit perdre la vie entre ses mains, à cause du vile Sin'dorei, jusqu'à la ramener aux guérisseur à l'extérieur. Les grunts étaient farouche, et firent tombés du surplomb où ils s'installèrent pour menés leurs projets, Hegins et Liu qui se fracassèrent au sol. Si j'étais inquiète pour mes troupes, il fallait toutefois poursuivre avec Yerlha dans le hurlement des armes pendant que Konigen s'acharnait à détruire l'instrument elfique qui fit chuter au sol l'Azérite, ne provoquant heureusement pas un fracas explosif craint. Celle ci dévia son mouvement rapidement pour soutenir ceux qui étaient en danger, assaillie par un élémentaire imprégné par l'Azérite locale, les rendant bien plus hargneux et vraisemblablement puissant. Nous progressions avec Mentell et Renold, Yerlha empêchant le Sin'dorei de mettre à exécution sa menace de faire périr les Sentinelles si on ne le laissait pas fuir, et il fut accueillit d'un carreau d'arbalète dans le ventre, l'envoyant brutalement au sol. Ce qui m'arriva malheureusement aussi, quand je glissa brutalement avec le Réprouvé déformé par sa propre fiole l'ayant rendu monstrueux, et glissant de divers fluides innommables. Je me retrouvais douloureusement par terre en regardant les environs, sonnée, Konigen écrasant avec la puissance de Liu l'élémentaire imprégné, qui avait vraiment cause du soucis à nos camarades. Puissant, c'était vraiment le nom. Nous étions quatre en sachant nos deux camarades derrière, Yerlha et Renolds, mais il fallait progresser. J'adressais une prière muette à leur prochaine mission en progressant, découvrant ce lieu étrange couvert d'Azérite et de cadavres de mineurs malchanceux massacré par les élémentaires, et les étranges limons imprégnés par la matière et la puissance, errant en ondulant sur les dépouilles mortes. Mais le pire restait à venir, quand nous sommes arrivés tout au fond des terres de Nazj'vel.

L'élémentaire énorme attendait, visiblement en train de recevoir la force de l'Azérite et la poudre offerte par les quelques élémentaires dans un procédé incompréhensible. Des mineuses étaient tenue dans un coin, sous une ondulation foudroyante d'un sceptre, ainsi qu'un étrange autel. Nous étions en train de nous battre avec des élémentaires, quand la situation nous échappa. De l'autre côté, Yerlha et Renold intervinrent dans une partie d'une ruine noyée, où la Horde essayait de faire jaillir un portail pour approvisionner rapidement l'Azérite et faire venir des troupes supplémentaires en vue d'une conquête rapide. Eliminant les combattants rapidement, notamment le Shal'dorei ayant échappé à la lame d'Alden hier, ils purent piégés l'entrée du portail avec les caisses d'Azérite même, mais le soucis était apparut : La Kaldorei fantomatique n'était qu'une perfide Naga sous un voile illusoire, libérée des gobelins, elle parvint à nous revenir dessus brutalement sous sa véritable forme, et c'est là que l'élémentaire massif se mit réellement à s'éveiller doucement. Pendant que nos camarades sabotaient les efforts de la Horde à nous prendre de revers brusquement, nous nous occupions des Naga en récupérant leur bâton, tout en sauvant rapidement les pauvres mineuses captives. Personnes ne furent tués, ce qui tenait du miracle au vue de la situation, mais profitant de ce coup de chance inespéré nous avons pu utiliser le propre autel des Naga : Un voile illusoire nous procurant une protection face au regard de l'élémentaire qui était devenu beaucoup. Beaucoup trop puissant pour nous tous réuni, et blessés comme nous l'étions : Drekhus était au sol, se trainant par terre en devant avoir des soins d'urgences. Gazim avait l'air d'être perdu, et il était difficile de savoir si il était vraiment utile de profiter de l'idole Naga pour le retrouver, tout ne recevant Yerlha et Renold paniqués face à l'énorme élémentaire qui avait ravagé la ruine elfique. La Horde combattait des élémentaires grâce aux efforts de nos deux camarades, nous donnant une dernière chance de partir en affaiblissant autant les élémentaires présents que les efforts de la Horde, car après avoir retrouver Gazmo recroquevillé sous des ruines, il nous fallait fuir. Fuir en vitesse, mais avec malice – Nous avions bataillés pour arrivés jusqu'ici, brisés et face à des obstacles impossibles, nous avons conjugués les deux : Le sceptre de la Naga était fait pour prendre le contrôle de cette chose, malgré le fait que son pouvoir disparaissait à cause du manque de sacrifice des Mineuses, nous avons pu au moins provoquer une "Injonction" qui fit progresser l'élémentaire massif jusqu'aux forces de la Horde. Notre avancée fut rapide, trainant les blessés au possible, sous la couverture illusoire qui ne durerait pas bien plus longtemps maintenant que l'idole perdait de sa force. Juste le temps de voir la Horde se mettre à combattre pour survivre face à cette entité qui avait faillit tous nous tués. Ce ne fut pas une victoire sur une réussite grandiose, les armes dressés en l'air, mais c'était une belle manœuvre tactique, et nous avons pu rejoindre les barques avec les Sentinelles rescapées.

Cette longue période dans la caverne me laissait poussiéreuse, la gorge sèche, et la douleur intense de mes jambes maintenant que l’adrénaline chutait de plus en plus, mais restait instable en voyant l'état de notre prochain lieu de repos – Nous n'arrivions pas vers le navire sur les côtes de Nazj'vel, où notre mission s'achevait, mais rejoignant Campbell et les forces de pointes Darnassiennes. Nous étions devant le pivot de la défense elfique, devant le passage final que la Horde ne devrait pas traversé massivement. C'est face au Mur de Feu-follet, que nous étions sur le bord de la grande bataille pour l'avenir des Kaldorei, et le triomphe de l'Alliance."

- Eïffy Aubéclat.
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Mer 1 Aoû - 2:26
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Trente-septième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Partir, c'était le mot d'ordre, partir. Après un repos particulièrement agréable, dorlotés par les Druides s'occupant des troupes arrières après tout ce que nous avions subit, il y avait une sorte de légère envie de croire que nous réussirons à nous en sortir de cette bataille infernale. L'Espoir, c'est bien ce qui nous restait de plus profond, et nous avons pu dormir dans des tentes installés avec les rares renforts de Campbell, discutant ensembles de nos affaires et des prochaines manœuvres. Celles ci étaient censés êtres simples : Il nous suffisait de parvenir à soutenir le front là où il pouvait être fragile en empêchant la Horde de progresser malgré le mur de Feu-follet. Si nous pouvons gagner du temps, suffisamment pour la venir des renforts massifs se préparant à apparaitre sur le front, alors le nord serait reconquit, puis lentement les troupes dévasterait les efforts de la Horde ayant commencé sa mise à sac de la région en de nombreux points. L'Officier Fangfire avait encore pour responsabilité de partir vers le nord sur son navire, en compagnie des civils possiblement récupérés, et je lui espérais y parvenir sans trop de difficultés en me disant hélas que cette fois nous ne serons pas avec lui pour couvrir ses arrières de la meilleure façons possible. Mais nous avons tous nos rôles à joués, et le notre était d'aller désormais nous battre à la pointe des combats, après une dizaine d'opération, si ce n'est plus, à secourir et saboter les tentatives de récupérer des ressources de l'infâme Horde. Cela n'avait pas ralentit sa progresse visiblement, les efforts d'une armée entière n'étaient pas suffisant malgré les cadavres s'accumulant de plus en plus. Nous avons vu des camarades tombés, des morts abandonnés dernière nous, des civils et des guerrières perdues à jamais en ce théâtre de guerre immonde. Certains s'attendent au pire maintenant, à ce que le tournant de la guerre apporte des solutions aussi folle que la chute de l'Exodar, de Teldrassil, de tout l'espoir de l'Alliance en Kalimdor. La Horde se prétend légitime sur cette terre, j'ai entendu des Grunts hurler qu'il n'était que justice de reprendre ce qui leur revient de droit. De droit ? Lequel ? Celui d'avoir décidé qu'ils vivraient au dépend des autres dans la violence, le massacre et la haine ? Il n'y aura plus de prospérité pour ceux qui s'oriente vers un tel bellicisme que la Nature elle même est devenue un crime. Dans nos adieux avec Fangfire, j'étais en compagnie des fantassins Goslin et Winford, ralliés par la 4ème Légion. Ainsi qu'Hegins, et Redmayne, habituels élites de notre troupe. Les rangers Konigen et Yerlha étaient aux ordres du Sergent Sen'dyl, le tout accompagné de la moniale Liu. Nous nous dirigeons dans des dernières salutations vers le front. Et avant qu'il soit temps de contemplé la situation, le monde devint une boule de feu.

L'explosion nous priment par surprise, envoyant plusieurs d’entre nous s'écraser brutalement au sol dans des cris de batailles s'élevant, alors que la panique apparaissait dans les mouvements de certains. Le démolisseur avait frappé fort, et partout la bataille se préparait à s'élever doucement pendant que la Horde progressait en avant. Nous prenions le temps de nous en remettre, pour être frappés par le désespoirs en voyant le mur de feu-follet doucement s'éteindre dans des grands bruits de scintillements éparpillés partout dans nos oreilles maltraités et fatigués. Le voir disparait fit paniqué la plus part, et la Horde progressant dans un rugissement partagés entre toutes les gorges, fonçant brutalement en avant en se ruant en agitant leurs haches dans une vague de haine et d'aciers. C'était peine perdu, la bataille n'avait pas débuté que le cor de retraite résonnait déjà. Une vague de Grunt fonçant devant nous, mais plusieurs soucis étaient déjà visible autours de nous – Une machine volante visait les arbres pour faire paniqué les Feu-follet pour que le mur ne se reforme en aucunes occasions. Les lances-glaives auraient pu tirer, mais ils furent fracassés par la charge des Kodo se ruant dessus brutalement, les taurens agitant leurs armes. Un déchiqueteur gobelin ricanant dévasta les autres de sa longue scie émettant de nombreuses étincelles reluisantes, alors que celui ci allait bientôt s’intéresser aux troupes elfiques en bas, et l'horreur de l'avoir vu scié une cavalière et son tigre restera gravé un temps, avant de le dissipé pour ne pas que les murmures s'en servent contre moi. Mais les menaces identifiés furent rapidement choisie – Les rangers partirent essayer d'arrêté les manœuvres de la machine volante dans les cieux, pendant que les fantassins se ruèrent en une grande charge vers les Forestières-Sombres décochant vers les civils et les guerrières blessés. Le fracas fut cinglant, et les Grunts en profitèrent pour essayer de nous prendre à revers, nous mettant en condition d'une bataille rangée hurlante. Winford fit sa démonstration de force, son épée écrasant les opposants qui lui fit face en compagnie de Liu, progressant pour essayer de soutenir les Sentinelles dans la retraite désordonnée et affolée pour ne pas subir trop de problèmes. Le combat avec les forestières sombres fut un des plus difficiles et impitoyables, mais je fis une bonne équipe avec Renolds, laissant la dernière essayant de partir avant de recevoir brusquement un explosion de la part de la machine volante – Konigen était à son bord, après que Yerlha ait réussi à l'infiltrer en faisant usage de son grappin, arrivant jusqu'à celle ci en envoyant le gobelin s'écraser bien plus bas. Une bonne acquisition qui nous fut utile jusqu'au bout de notre mission. Mais il était temps de partir, nous repliant en ordre, maintenant que les blessés et civils étaient saufs.

La fuite fut ordonnée, mais vraiment âpre, toutefois le sacrifice d'un Ancien protecteur s'écrasant sur la horde en la coupant de notre progression permit avec joie de profiter des longues secondes de répit pour partir avec tout le monde. Le glaive du maitre s'étendait devant nous, sombre et inquiétant, se dressant de toute sa hauteur en cet antiquité mystérieuse, mais le plus horrifiant restait l'énorme démolisseur prêt à tirer sur les fuyards. Des Grunts dans notre dos abattirent des arbres pour nous empêcher de partir, et la fureur des Furbolg les rendaient agressif envers les citoyens essayant de partir. Les fantassins, maltraités par la fuite et la défaite au front, essayèrent de repoussés les Furbolg ce qui fut fait à merveille, écrasés par notre efficacité sur la ligne, ce qui laissa néanmoins place à la sournoiserie des Réprouvés – Une fiole de poison éclata brutalement entre nous tous, je fus transportée par Hegins, sur le point de tomber dans l'inconscience, Redmayne aussi fut trainé vers les civils fuyant maintenant vers le nord, avec les Sentinelles en combat. Le démolisseur n'avait pas pu supporter l'assaut des Rangers qui en firent la capture, et soutenu par les assauts aériens de Konigen maintenant confortablement installée dans la machine volante, le tir du démolisseur sur les arbres fini de dispersé le passage ouvert pour en faire une grande route pour notre sortie, les Orcs massacrés par les fracas. Derrière, pendant la fuite des Civils, ont essayait de tenir en levant nous boucliers faces aux arbalétriers Réprouvés, et une mauvaise représentation de la campagne des Hinterlands m’apparus dans l'esprit un instant. Maudits soient-ils ! Je me retrouvais encore à défendre chèrement ma peau avec mes troupes face aux embusqués et leurs tirs, un Civil gisant au sol en se trainant, rapidement récupéré par Winford pour le faire replié vers les fuyards. Le Chi de Liu permit à plusieurs de chuter, un recueillir par une flèche de Sen'dyl, et ce fut l'apparition de la machine de Konigen se déchainait dans les arbres qui nous offrit l'opportunité de partir un peu plus vite. Hurlant aux rescapés de partir en vitesse vers le nords, certains anciens marchant aussi à travers les forêts pour quitter l'avancée fracassante de la Horde qui nous écrasait désormais. Il n'y avait que le mot "défaite" qui me résonnait dans le crâne à ce moment là, alors qu'on essayait de faire parvenir nos camarades vers une relative sécurité. Mais est-ce que le sens de ce mot existait encore en Sombrivage, maintenant que la Horde marchait dessus ? Des heures de route vers le nord, des heures s'accumulant dans nos jambes, trainant les civils et essayant de supporter ceux qui ne pouvaient plus marcher. Abandonnant malheureusement ceux succombant pendant la longue route vers le nord. Fuir, tout ce qu'il fallait maintenant c'était réussir à fuir. Nous avons parcouru une bonne distance, avant de tomber sur un champs de bataille.

L'endroit était infesté de passage aqueux des rivières déchainés datant de l'époque sinistre du cataclysme ayant tout ravagé. Cependant, si il y avait un pont pour accéder à la suite, la Horde l'avait saboté pour empêcher les replis stratégies trop nombreux. Coincés d'un rivage à l'autre, il n'y aurait que peu de temps pour trouver une solution avant d'être dépassés, épuisés comme nous sommes, il était certains que les avant-gardes de la Horde était déjà à nos trousses. Pendant les préparatifs pour notre départ, des propositions étaient établie, et celle choisie avec notre spécialité fut la plus logique, mais pas la plus simple à faire acceptée : Utiliser un portail du Vide. Sen'dyl était en préparation, alors que Konigen usa des capacités de destructions de la machine gobelin pour faire exploser le pont derrière nous et nous couper de la charge des chevaucheurs de loups progressant vers nous. Les péons attrapant du bois, préparant un pont de fortune avec une effrayante efficacité, il en faudrait peu pour être rejoint et exterminés jusqu'aux derniers. Les civils paniquèrent, trois essayant de montés tout le monde contre les autres en braillant que le Vide n'était pas une solution mais une aberration, et qu'il fallait mieux se battre et mourir ici. Les agitateurs troublaient les présents, certains acceptant mais d'autres préférant croire qu'ils pouvaient survivre. Le contre-sort retardant Sen'dyl fit découvrir la vérité, dans un moment périlleux : Les trois agitateurs étaient une Shal'dorei et deux Sin'dorei en allure de combattantes, ayant infiltrés les civils pour les menés dans un tel piège et nous empêcher de progresser. Quatre chevaucheurs de loups avaient traversés à la hâte la rivière, nous fonçant dessus dans les vacarmes d'un combat pour parvenir à fuir. Maintenant qu'il n'y avait personne pour empêcher notre départ, je m'essayais à l'ouverture du portail après avoir été récupérée par Yerlha : La décharge arcanique que j'avais reçu fut si puissante que j'ai faillis tombé dans le ravin, y abandonnant mon fidèle glaive qui m'avait tant servi depuis le début de cette mission. Rescapée de justesse, je me concentrais sur ma tâche pendant que la bataille éclatait derrière moi pour contenir la fureur des chevaucheurs. Le regard du Garde se Sang nous ayant pourchassé dans Orneval était posé sur nous, depuis la destruction de son camp de prisonnier non loin d'Astranaar. Comme sa haine de la défaite devait être immense, pour vouloir notre sang, et Konigen lui rendit avec plaisir en essayant de l'abattre à tout prix. Mais face à sa force, ce fut dans l'instant vain, ayant fini par parvenir avec son Chaman à mettre fin à la fureur de la machine gobelin ayant été bien utile jusque là, mais la hache propulsé par le guerrier sauvage fut si profondément ancrée à l'intérieur de la mécanique, qu'elle explosa en entaillant la jambe de Konigen, se libérant de la chute et s'écrasant non loin du Portail du Vide ondulant tranquillement en arrière en de milliers d'étoiles. J'attrapais Konigen pour finir avec, pendant qu'elle hurlait, douleur et insulte vers le Garde de Sang ayant encore une fois faillit réussir à nous massacrer jusqu'aux derniers. Et la route fut encore parsemée d'embuches.

Champs de batailles à traversés, lieux de massacres, corps tombés et horreurs de toutes natures. Nous avons progresser mollement vers notre destination finale, ce qui signifiait aussi loin que possible avant que tout le monde ne s'effondre de fatigue et de douleurs. Beaucoup à cause de ça ne passeraient pas la nuit en vie, et encore moins après les soucis que nous étions voués à subir là où on pourrait se positionner. Quelques tentes, dans un coin tranquille, mais tout n'était que pièges – Toute la nourriture laissée avait été empoisonnée, des pièges à loups éparpillés un peu partout, et des chausses-trappes dans les tentes. Tout n'était que pièges, menés par les trolls installés dans les ombres, qui furent massacrés grâce à Alden qui découvrit leur présence, et Sen'dyl qui la fait apparaitre. Nous avions conquit un lieu plein de piège, mal défendu, et sans ressources supplémentaires où de nombreuses vies seraient perdues. Quel atrocité, quel folie. Et les nouvelles étaient de pires en pires. Notre défaite était maintenant sûre et certaine. Sombrivage est perdue."

- Eïffy Aubéclat.
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Jeu 2 Aoû - 4:36
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-huitième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"La peine et la fatigue nous accablait dans ce campement isolé et couvert de pièges laissés pour nous abattre. Mais le plus grand problème venait des escouades de la Horde harcelant les gardes de nuit en nous réveillant régulièrement. Il fallait combattre les problèmes de notre propre campement, ainsi que les civils en train de perdre la vie, nos camarades souffrant comme Renolds Gaslin qui était complètement dévasté par les combats. La nuit fut donc longue et le sommeil vraiment léger, nous épuisant à courir aider des guetteurs attaqués, ou des blessés. Au moins deux volontaires se prirent les pièges à loups dans la forêt et émirent des hurlements nocturnes due à la douleur grimpante. C'est dans une journée bien morne que nous nous éveillèrent suffisamment pour nous préparer à repartir, et à trainé ceux qui n'étaient pas prêts à le faire – S'enfuir n'était plus une option, c'était notre seule objectif. Eveillés vaguement, les troupes étaient en nombre pour ce départ – Les Rangers Yerlha, qui était en piteuse état, pour une Sancteforge c'était vraiment étonnant mais rude à observer, ainsi que Gazmo et Konigen. La moniale Liu était à nos côtés, ainsi que le Major Elis Rocan et les très rares survivants de Theramore. Ils étaient une vingtaine à leur venue, ils étaient plus que cinq maintenant. Et ne seraient que deux en sortant de la fureur de la guerre. Les fantassins Mentell, Winford, Shyfern, Redmayne, Hegins, Hargo et Winter étaient présent, prêts à en découdre. Nos vieux camarades étaient donc prêts à prouver qu'ils ont la valeur de parvenir à leurs fins, depuis tout ce temps nous y étions – Ce soir, nous étions conscient de rejoindre Teldrassil et trouver une fin pour notre déploiement pour se préparer à la suite. Mais l'atrocité du constat attendrait. Nous préparant à partir du camp en avant garde, comme souvent quand nous protégeons des fuites civiles, habituelle maintenant depuis Orneval, nous avons prit les devant. La route dévasté était longue, fatigante, mais faisable, l'Ancien druide Cirmo ayant ouvert un accès pour les rescapés, et nous fit même l'honneur de protéger nos arrières pendant le retrait des forces. La nature se dresse avec lui, mais en sachant la perte de l'Archidruide Hurlorage des mains de la Horde, je craignais maintenant aussi pour sa vie. Progressant doucement, un des problèmes fut venant d'une Kaldorei errante qui fut constaté par Hegins, avant que celle ci ne nous saute dessus pour écrasé la pauvre Hegins, ses yeux devenu d'un rouge sinistre étrange, alors qu'elle tentait presque de la Horde. Le pouvoir obscure qui avait plongé cet être dans la folie avait presque faillit démoralisé les nôtres, mais ce n'était que le début des problèmes. Trois longues heures de voyages tendues, et à la fin cette partie de la route, les problèmes. Les cendres se mirent à tournoyer, et les cieux devinrent écarlate. Difficile à dire ce qui avait causé ça, mais cela ne pouvait prédire rien de bon. Peut-être que la guerre en direction de Lor'danel était bien plus grave qu'on ne le pensait.

Une énorme catapulte semblait préparer le tir qui viendrait à bout de l'Ancien déjà bien endommagé, écrasé en arrière alors que des druides s'occupaient de le guérir. L'Ancien était déjà vaincu, mais il bloquait l'accès de son immense carcasse à la route menant au nord, à l'énorme Catapulte de la Horde qui avait l'air bien différente des autres : Un monstre d'acier, et de métal, flamboyantes d'un feu inquiétant. Il y avait rarement eu des armes de la Horde plus inquiétante, et même sans ornementations lupines qui font l'honneur et l'horreur de leurs canonnières donnant l'impression d'être animé par le feu des enfers. Celle ci avait un aspect plus brutal, et plus reluisant de pouvoir. Les Orcs, menés par un puissant Chanteguerre brun, se disputaient avec deux Worgen : Il ordonnait qu'ils se déplacent sans avoir besoin de les massacrés, pendant que des prisonniers étaient toutefois sous la surveillance d'un chevaucheur de Kodo Tauren. Les trois Réprouvés n'étaient visiblement que peu d'accord avec le principe de les épargnés, ce qui entraina vaguement une dispute avec le Chanteguerre, mais les ordres étaient ce qu'ils sont, ils agissaient en devenant les monstres qu'ils avaient jadis juré de combattre. Garrosh était peut-être un monstre sanguinaire, il fut le premier à se levé face au Roi-Liche. Que dire maintenant, de ceux qui suivent sa remplaçante ? Pour nous, la question ne se posait pas – La menace devait périr. Fonçant en avant avec les fantassins, le conflit éclata massivement entre les Orcs et nos guerriers, rejoint par les deux Worgens dans notre dos. Elis et les arbalétriers tiraient sur la machine pour empêcher son tir, pendant que Gazmo et Konigen s'occupaient de chevaucheurs de loups plus loin, qui attrapaient des fuyards. Ce qui nous permit de les retrouvés plus tard, dans le plus problématique de cette soirée, mais pour l'instant le combat se retrouva figé quand la catapulte explosa brutalement, envoyant toute la mêlée au sol brusquement, et plusieurs des fantassins sous une barre de métal, nous mettons en difficulté : Les sortir de là, ET affronter les Grunts se relevant lentement. La Réprouvé ayant survécu à l'énorme barrage de carreau d'arbalète contre ceux ci, errait maintenant parmi les survivants de Theramore, et deux furent assassinés odieusement par ce monstre avant que Hargo n'intervient pour le fracasser brutalement. Elle fut massacrée par l'épée d'Elis, dans des hurlements de rage, mais aussi d'un profond chagrin. Alors que les derniers Grunts tombaient, Liu et Drekhus ayant purifiés les pauvre civils malmenés par des malédictions après avoir vaincu le gardien dont la bête essaya de dévorer notre camarade pandarène, les problèmes surgirent de nouveau – Nos Rangers avaient poursuivit un troll à travers la forêt pour découvrir où il attirerait ses proies captives. Et pour nous le signaler, ils firent éclatés des signales de détresses. Joie, tout les environs allaient rappliquer brutalement vers cette position. Quand le Chaos vient...

Fonçant à travers la forêt, il ne fallut que peu de temps avant de les retrouvés en vitesses, passant les branches en trainant encore les civils et les sentinelles survivantes avec nous, accompagnés de ceux rescapés, bien que les druides eurent voulu poursuivre leur guérison avec une assistance de Mentell qui abandonna à contre-coeur les soins. Progressant rapidement, nous sommes tombés sur une situation catastrophique – Une tour de bois avait été dressée par des péons, très fragile et à peine en place, liant un pont de bois vers une hauteur rocheuse où un Nécromancien était installé. Habillé des parures de Fossoyeuse, il observait la scène, satisfait de voir les civils balancés là, sous la surveillance des Réprouvés, l'abomination et les cavaliers tournoyant, et le barrage des Nécrogardes installé sur la route en nous bloquant l'accès. Un Ogre-mage empêchait la progressait des treants essayant tout de même de sortir des bois, pendant que la force principale de la Horde installé dans un coin. Visiblement, ceux ci étaient fort peu satisfait de la situation actuelle, bien que quelques contre-maitres s'assuraient de la fidélité des présents en braillant qu'ils œuvrent pour la Horde, pendant que des civils étaient tués pour servir les desseins de nécromant installé sur sa hauteur. Nous avons établit rapidement un plan – Avec les forces rescapés du Sud, nous n'étions plus une guérilla des forêts, mais une force armée capable de combattre. Progresser vers le nord se fera avec le fils de l'épée et de l'acier, nous nous sommes donc rués vers l'ennemi pour frapper avec force et libérés les troupes de la nature. Les objectifs étaient si nombreux, nous nous sommes divisés – L'Ogre-Mage fut écrasé rapidement par le marteau découvert sur le corps d'un des initiés de Kyrte Dalson, la lumière s’éteint après le ravage sur le ventre du monstre, mais cela permit à Hargo de procéder à son exécution. J'affrontais avec Liu et Hegins les Réprouvés détendant les civils, bien que la Moniale fut rapidement écrasée par l'aberration de chair, nous laissons la responsabilité d'en finir, bien que celle ci nous aida au mieux. Alden se battait avec courage, jouant de son épée face aux Orcs pour couvrir le sauvetage des civils, et fit preuve de son héroïsme en un massacre des guerriers de la Horde. Seul, il fut un pavois de courage, malgré les traces affreuses sur son corps épuisés par les batailles. Drekhus avait bien du mal à s'en sortir, harcelé et tourmenté par le Nécromancien quant il prit sa forme d'un grand corbeau, et la suite serait de pire en pire quand le Nécromancien procédait au sort qu'il usait. Ponctionnant dans les civils en bas, qui firent presque tous épargnés, si ce n'est trois pauvres âmes dévorées par les sorts laissés en bas. Tout n'était que chaos dans la bataille, quand Sentinelles, Treants, et Worgens s'écrasèrent contre la Horde. Les troupes de Theramore étaient vaincu, Rocan inconscient entre les bras du dernier de ses troupiers, alors que Gazim sabotait la tour en recevant l'Ire des péons. Mais la tour céda, quand Hargo et Shyfern intervinrent, s'écroulant lourdement sur le pauvre Hargo qui avait besoin d'aide. Partir, il fallait partir, avec les prisonniers et les rescapés, le hurlement perçant de la créature sur le promontoire ne présageait rien de bon. Le crâne fantomatique de l'être aux aspects draconnique prenait forme, un seul crâne flottant et hurlant le givre, mais la Nature n'avait pas dit son dernier mot. Sous le regard de Gazim, installé en haut de la route pour l'aider, il fut un spectacle que j'aurais vraiment aimer pouvoir observer de mes propres yeux.

Les feu-follets se ruèrent en nombre dans un énorme fracas, dévastant l'entité naissante et gâchant tout les efforts du nécromancien qui regarda impuissant sa création disparaitre dans les lueurs bleutée spirituelle de la puissance de la Nature même. Prit de panique, il se rua vers Gazim, et se condamna en chutant de haut, déjà blessé par la lance que Liu lui avait balancé dans l'épaule. Sans aucun de ses effets magiques, il n'était plus qu'un vieillard brisé qui s'écrasa brutalement au sol. Dans les décombres, parmit les péons gisant sous les rondins de bois. Tout nos camarades étaient réuni, Alden luttant contre le guerrier l'ayant défié dans un étrange Mak'gora, pendant que nous étions sur le point de percé la barricade Réprouvée pour nous enfuir – Les renforts attendu de la Horde progressait vers le Sud, et partir devenait une priorités absolue. Enfonçant les lignes réprouvés, nous frappions avec puissance les cadavres aveuglés par le Chi, projeté par Liu. Les fantassins heurtèrent ensemble les débris ravagés par la charge du Worgen s'écrasant dans les métaux, les repoussant sur le côté d'un massif coup d'épaule. Les civils fuyaient déjà en hurlant, ainsi que les sentinelles, de nombreux treants restant en arrière pour ce battre. Eux avaient tout à perdre à partir, rien à gagner que le survie, mais la nature avait beaucoup plus de prix que pour tout les autres : Nous sauvions le peuple des forêts, son essence elle voulait encore se battre pour ceux s'étant occupé de lui depuis toujours. Quand tout le monde fut récupérés, nous sommes parti vers le nord en vitesse en laissant corps et désordre, un ravage oublié derrière nous, avec bien des difficultés. La course fut rapide, sur une heure de voyage infernale, où nous pensions être rattrapés par des troupes Darnassiennes nous laissant reculer vers Teldrassil, mais les cendres tournoyaient encore, et des assauts furent nombreux sur notre route. Alden écrasé par terre par la force d'un Grunt qui se prit une volée de flèche des Sentinelles, ou encore l'arbre s'écrasant sur l'initiée des Prêtresses d'Elune, quand le déchiqueteur Gobelin bondit dessus, avant que Gazmo ne balance un explosif à l'intérieur rapidement avant d'essayer de nous rejoindre. Notre seul moment de paix fut de découvrir un Puits de Lune encore entier, nous restaurant avant de continuer notre route rapidement. Les problèmes étaient nombreux. Wyvernes dans les cieux ,guerriers errants, pourquoi ? Pourquoi la paix n'arrivait toujours pas, alors qu'on allait enfin parvenir jusqu'à notre destination finale ? Teldrassil, enfin arrivait, les arbres s'écartèrent, les broussailles disparurent. Teldrassil étaient à notre portée, la paix, la sécurité, le repos, le triomphe. Teldrassil se dressait alors devant nous, tous sur la plage en observant dans sa direction. Les flammes ondulant sur sa surface, son aspect piteux ravagé par la puissance de la Horde. Teldrassil était détruite, dévastée à l'horizon alors qu'il n'en restait rien. Des corps étaient étalés partout, les plages bordés de corps oubliés, d'armes et de sabre-de-nuit morts. Notre défaite était totale, l'Alliance avait échoué, après tout ce que nous avions subit.

La défaite, c'était avec de tels mots que nous étions en route vers un lieu indiqué par des survivants – Une caverne investie par une Brigade de réserve des armées de l'Alliance, ayant parvenu difficilement jusque ici pour découvrir un arbre flamboyant au loin. Tout les rescapés furent installés sur un des navires survivants, en envoyés en direction des îles de Brume-azur pour y trouver peut-être, du répit grâce aux Draeneï. Elune les accompagnes. Il nous restait finalement à faire, là-bas nous trouverons soin, repos, équipement de rechange, avant de repartir pour finir enfin notre mission : Que la Horde gagne cette bataille, la guerre était totale, et nous ne partirons pas en abandonnant des civils. Nous n'abandonnerons personne, car tel est l'Alliance de notre temps."

- Eïffy Aubéclat.
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Ven 3 Aoû - 15:14
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Trente-neuvième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"La grotte nous accueillant nous permit de trouver un peu de repos, de calme, malgré l'ambiance mitigé s'y retrouvant – Des réservistes, de toutes sortes de combattants pouvant bien être mobilisés en levant les bras pour préparer une force à envoyer frapper avec vitesse une situation nous échappant. Pour un soldat, il est toujours difficile de se confronter à la vie quotidienne, et encore bien plus quand celle ci nous tombe dessus, et malgré quelques personnalités engagés nocives – Ce qui est douloureux à voir, quand il s'agit d'une Ren'dorei servant le plus de tête de quiche parmi tous. Il y avait quelques personnalités vraiment intéressantes – Une jeune volontaire travaillant dur avec les responsables infirmiers s'occupant presque un peu comme du dorlotage qui fini par me mettre étrangement mal à l'aise. Ce ne sont que des bonnes intentions, mais mettez des soldats habitués à se débrouillés deux même face à des personnes s'occupant de tout autours d'eux en traitant leurs plaies, faisant tout ce qu'ils sont habitués à faire, c'est reposant mais stressant. Il y avait comme une impression lourde en ce lieu, et malgré la relative sécurité d'un lieu n'ayant qu'une dangereuse entrée-sortie, il y avait cet impression salissante pour une militaire d'être trop loin par rapport aux combats. Par rapport aux problèmes à venir et à réglé. Mais ça ne durerait pas, nous avons encore tant à faire mais le choc de Teldrassil résonnait encore dans nos esprits comme une intense douleur nous mettant tous à mal à l'aise. C'était aussi une des plus importantes raisons de notre présence, en plus de la franchise amicale de la Capitaine Hodge, de la présence de l'Amiral Walter, du Commandant Konhouag et de quelques autres dont je ne pourrais pas tous cités. Des personnes franches, sympathiques, nobles de cœur. Mais cette noblesse ne se partagerait que dans le devoir, et la fête triomphale au repos. De notre côté, il s'agissait de poursuivre notre mission – Trouver des survivants, et partir de ce territoire vaincu. Il manquait toute fois une chose importante : Des informations, et une aide pour assister les restes des forces présentes de la 4ème Légion installé plus au nord avec le Haut-commandant Campbell, s'efforçant de garder auprès de lui les résistantes Kaldorei et les civils, en vue d'une échappée. Cette fuite, nous devons lui fournir, et cela débutait pas découvrir l'état des environs. C'est en compagnie des fantassins Hargo, Shyfern, Mentell et Hegins, accompagnés de la Moniale Liu, du Ranger Gazim et du Commandant Konhouag, que nous avons quitter pour une première fois la grotte, en sachant que nous y reviendront au moins une fois avant notre dernier départ. Quittant la sécurité de ce lieu, je me retrouvais avec plaisir avec les lueurs malheureusement rougeoyante qui était présente et irritante. Malgré tout, je me sentais à l'aise en extérieur, en marche pour accomplir notre devoir.

Vers le nord, c'était une longue route. Apertant un territoire dévasté et vaincu, il était possible de tomber sur la Horde en tout moment, mais la plus part du temps il s'agissait de cadavres abandonnés au sol. L'Armée de la Horde avait fait son office, elle n’avait plus rien à conquérir puisqu'elle avait réduit en cendre tout les espoirs de conquêtes, en même temps que les citoyens. Une sorte de larme cristalline fut tout de même découverte dans un étrange sanctuaire où ses occupants avaient été assassinés par de nombreux tirs d'arbalétes lourdes. Trop tard pour eux, pensais-je, mais nous n'avions pas été attirés par hasard, et la larme fut notre. En progressant plus au nord, ce fut là, après trois heures de routes difficile, qu'une première curiosité apparue : Il s'agissait d'une sorte de groupe d'esprit s'amusant, dansant à la mesure d'une joueuse de harpe et d'une chanteuse splendide non loin d'un Puits de Lune. Dans les parages, il n'y avait malgré cette étrange manifestation, aucuns feu-follets. Certains désiraient contourner ce lieu maudit, peu envieux de faire face au surnaturel aussi étrange, mais qu'un Kaldorei bien vivant qui semblait écoutait tout ça comme si rien n'était, et les restes de l'anciens défunt enraciné plus loin, n'aidaient pas vraiment à pouvoir me faire à l'idée qu'il n'y avait rien de spécifique ici. Nous sommes donc parti en inspection tous ensemble, j'accompagnais Konhouag discuter avec le survivant qui avait l'air béa, complètement rendu apaisé par les chants et la musique qu'inspectait Hegins dans un coin, pendant que Drekhus regardait les restes de l'arbre. Shyfern, quant à lui, inspectait le Puits de Lune dont Gazim et Hargo avaient étrangement trouvés des traces de chariots s'arrêtant en dessous. Il n'avaient pas percé le mystère, mais les bouts de la vérité arrivaient doucement pour remettre la situation en ordre. Tout éclata pendant notre conversation avec le Kaldorei qui avoua presque avoir offert tout les siens à celle qui apparaissait sous les traits immonde. Une Banshee révéla son visage, à la place de la chanteuse, et à son premier cri une bonne partie des nôtres s'écroulèrent brusquement. Alors que la menace apparaissait, un autre soucis se faisait de taille, quand des feu-follets firent leur apparition, pour disparaitre au niveau du puits de lune. Si la Banshee disparue sans faire plus de mal, quand la Lumière du marteau de Frankk la fit suffisamment s'incarner avant d'être fendue par une lame profitant de sa faiblesse. Konhouar fit joué son expertise un instant, découvrant le subterfuge quand le Puits avait été attaqué. Le sortilège jouant sur nos esprits dévoila la machine des Réprouvés qui volait l'énergie de la Nature pour la souiller, attirant feu-follet, treants, pour les souillers. Après quelques instant et un moment comique de Shyfern s'écrasant dessus en retombant au sol, la machine explosa brutalement. Et ce n'était que le début des problèmes.

Il y eu un temps de pause le temps, pendant que les feu-follets survivants, et les restes de l'énergie de l'Ancien redirigé vers sa carcasse par Mentell reprit lentement conscience. Les esprits dansant – des esprits gilnéens, ramenés vers la Lumière doucement. Le temps nous manquait cruellement, par aveux du Kaldorei nous étions désormais conscient que des civils devaient être en danger plus au nord-ouest, il fallait définitivement avoir nos informations et protéger quelques vies au mieux possible. Abandonnant le ravage du chariot, et les treants au soutiens de l'ancien, nous nous sommes rués, guidés par les traces des roues découvertes et par l'aide du Kaldorei soutenu par Konhouar, en direction d'une vieille tour humaine, surement érigée à la fin de la troisième guerre. Progressant rapidement, nous fatiguant en une vingtaine de minutes, cela ne pu rien changé. Les arbres étaient en flammes autours des vieilles ruines de la tour, le corps d'un Druide empalé sur un arbre, en l'air, dans un spectacle horrible. Les civils étaient dans un coin, et de manière incongrue, leur destin n'avait pas été décidé. La Sombrelance se disputait grandement avec le Réprouvé qui avait ses propres projets, et cela ne semblait pas convenir au sens de l'honneur des guerriers de la Horde présent, occupés par la Taurène qui glissait entre eux en les ravitaillant. Notre venue fut constaté, et la bataille éclata brutalement. Si je défais la Sombrelance, la plus part de nos troupes agir brutalement vers pratiquement une cible : Le Réprouvé, une haine phénoménale apparaissant dans le cœur de nos troupes qui avaient l'occasion de se battre depuis la destruction de Teldrassil, enfin. Il fut littéralement massacré, roués par les lances de trois combattants pendant que Konhouar évacuait les civils rapidement, quel massacre. Mais ce massacre ne concernait que le Réprouvé, car en entendant le Kaldorei traduire les dires des rescapés, tout était clair : Grace aux guerriers, ils ne furent pas offerts aux doigts de la mort, et pour ça, nous les épargnerons. Tous furent mit à terre, avec une grande efficacité, Hegins était littéralement déchainée, et elle n'avait pas fini de nous surprendre. Le regard de Frankk face à la Taurène qui guérissait les blessures des vaincus furent ceux de deux combattants n'ayant pas eue envie d'en arriver là, et d'aller plus loin. C'était un espoir à observer, mais cet espoir n'existait pas tant que les fers seront installés sur la gorge des guerriers de la Horde. Les fers de la Horde. Konhouag nous prévint de la présence de la machine de guerre dont l'équipage se ruait en vitesse pour en prendre le contrôle, quelques tirs furent partagés, des flèches volant et Shyfern s'écrasant au sol quand il lui fut renvoyé sa lance dans l'épaulière en un grand fracas d'acier. La bataille débuta ailleurs quand les forces de la 4ème Légion intervinrent, mais nos objectifs étaient ciblés sur le coeur du problème – Le démolisseur fut arrêtés dans une grande mêlée, celui ci ayant décidé de tirer sur les siens vaincu vu que les civils avaient été mit en sécurité, ce que nous avons décidés de ne pas laisser passer. Ils devraient repartir vers le nord, et continuer de surveiller les Réprouvés pour évités que les prisonniers soient mit à mort avant notre venue. Et les hurlements déchainés venant de la tour n'inspiraient rien de bon.

Nous nous sommes rués là-bas après avoir mit hors d'état la catapulte, un homme de Kul'Tiras pourfendant de l'épée le Rochenoire s'en occupant avait quelque chose de poétique, surtout que cela l'empêcha de m'écraser le bras pour me faire chuter de sa machine de combat quand je ne parviens pas à y grimper. Les réfugiés étaient sauf, installés auprès de Shyfern dehors qui discutait avec la Taurène malgré la peur et la situation, le dernier Grunt installé non loin gardait la tête basse, hagard et brisé par cette situation de trève surnaturelle. Nous, nous étions aux abords de la ruine en devant ouvrir le passage des Nécrogardes brisé par notre avancée pour pénétré dans cet ancien refuge pour les survivants décrit par le Kaldorei nous suivant toujours, bien décidé à en découdre. A l'intérieur, se trouvait un prêtre des Ombres, qui tentait de corrompre l'esprit d'un Gardien du Bosquet attiré par deux druides asservit. Les deux Kaldorei semblaient souffrir autant que le Gardien dont les ombres tournoyait autours de son esprit affaiblit. Un chevalier de sang était assis dans les marches de la tour brisée, la Lumière protégeant ce crime, pendant que l'ombre non loin d'un druide Troll ondulait lentement vers un groupe d'enfant et de vieillard servant en quelques sorte "d'argument" pour forcer les Kaldorei à agir. Il fallait les sauvés en urgence, et sauver de Gardien du Bosquet : Odoh, cet être, si il pouvait être revigoré et protégé des ombres, deviendrait notre fer de lance pour libérer les victimes du nord et nous échapper définitivement de cet enfer ardent. L'espoir hurlait devant nous, d'une douleur affligeante. Et nous nous ruions à son secours : Lames et sorts fusèrent. Le bouclier de Lumière ne pu survivre à l'assaut sur le Chevalier de sang, mais là fut le fardeau de la souffrance pour moi. En plus d'attaquer de qui fut un camarade, un confrère, ce traitre au service de la mort devait périr. Nous repoussant avec quelques blessures, il m'attrapa au visage, et convoqua la Lumière. La souffrance fut horrible à recevoir, m'infusant dans une douleur si intense que je faillis perdre conscience. Jusqu'à ce qu'il fut tué dans le tir puissant de Gazim, je m'écroulais en regardant dans le flou Konhouag qui fendit le druide troll de son sabre marin, avant de se rué vers les enfants. Il fut écrasé par les ombres, contre eux, déjà un jeune visage s'éteignant. Sauver les enfants, il fallait sauver les enfants, vraiment. Pendant que mon esprit sombrait dans la douleur, je repris doucement conscience quand le Prêtre des ombres gisait, deux lances de Hegins et Shyfern planté dans le corps dévasté par les griffes. Liu et Drekhus avaient fini par offrir une porte de sortie à Konhouar qui avait protégé les civils du mieux possible avant un sauvetage complet, mais c'était trop tard. C'était arrivé trop tard. Nous ne pouvions qu'observer l'arrivé de Cirmo Douxfeuillage quand Odoh en fit l'appel, les trois Druides s'occupant de lui en nous donnant rendez vous dans deux jours dans une vieille ruine plus au nord. A l'extérieur, la 4ème Légion attendait en compagnie du Seigneur Kyrte Dalson, observant les membres de la Horde épargné partir vers le nord.

Le bain de sang avait suffisamment duré, les poursuivre pour les abattre alors qu'ils pouvaient empêchés encore les membres les plus abominables et servant les plus acerbes de la Guerre et de la Dame noire de tuer les captifs, c'était ça nôtre volonté de croire. Croire que nous n'affrontions pas simplement un échos du Roi-Liche et ses serviteurs décérébrés. J'ai servi pour la Horde, fusse ma vie de Sin'dorei quand Garithos brisa mes liens avec l'Alliance de Lordaeron, et j'ai vu des visages heureux, des enfants des peuples, et leurs envies de vivre. J'ai su que la monstruosité de la Tombe ne trouvait que difficilement la paix, car la Vengeance et la jalousie dépassait souvent la volonté de passer outre une malédiction. Nous observions longuement les corps brûlant de ceux tombés au combat aujourd'hui, Les corps des soldats, mais aussi des druides, des habitants... des enfants consumés par les flammes. Je m'égarais en observant cette scène, écoutant Kyrte discourant sur l'honneur de ceux tombés, mais avec la douleur encore gravée dans ma peau, ses mots passaient au fond de mon crâne en tournoyant autours des murmures. Qui voulaient trouver une solution, qui voulaient m'attirer vers la puissance pour se venger, mais la vérité était-elle : Sombré dans les ténèbres, c'était ne pas valoir plus que la Horde, que les Réprouvés. Se battre demande de le faire avec fierté, et honneur. Car cet honneur qui nous sépare des monstres qui seront à jamais nos ennemis. Pour l'Alliance."

- Eïffy Aubéclat.
Linaild Sombrebourg
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Dim 5 Aoû - 4:40
Journal d'Eïffy Aubéclat, Officier Ren'dorei des forces de l'Alliance.

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Quarantième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Les derniers temps furent plutôt actif depuis notre rencontre avec la 14ème Brigade de réserve, dont les actions sur Lor'danel comme stipulé par le Sergent-Chef Finegann étaient une aubaine – Si ceux ci s'occupent d'objectifs proches dans le nord, la Horde pourrait laisser une ouverture suffisante pour nous permettre d'effectué la nature de mon plan final : Parvenir jusqu'au bout de la pointe nord de Sombrivage, libéré le plus de captif possible, et nous évacué définitivement de cette situation désastreuse à travers le vide. On y est, la fin de ce voyage, ou une action désespéré qui nous mènerait vers un massacre odieux. Après avoir effectué une embuscade sur un convoi de ravitaillement pour fournir en ressource médicale les réservistes de l'armée isolé dans une grotte donnant cette terrible impression d'écrasement, nous avons fait nos adieux. Face à Walter, Hodge, et quelques autres, je leur espérais vraiment de la réussite de les revoir tôt ou tard en vie, remerciant une dernière fois Korbelt pour le bouclier, en sachant que mon bouclier massacré servirait d'hommage tombe pour nos disparut. Quittant le refuge, le Caporal Lyndell m'informa que les troupes de Campbell, les rares survivants et les troupes Darnassiennes ralliés avec les civils, se tenaient prêts à partir. Nous avons donc poursuivit vers le nord en espérant définitivement parvenir à quelque chose en retrouvant le Gardien du Bosquet Odoh. Ce qui n'était naturellement pas si facile que ça dans les faits, mais vous verrez comment la situation à bien pu dégénérés. Après les dernières discussions tactiques, informations, et autres réunions sur des cailloux et des maigres caisses, nous avons pu mettre au point la situation et donner le départ. La caporal Lyndell, le Sergent Send'yl, et les fantassins Shyfern et Hegins, ainsi que les Rangers Gazim et Souffle-Soleil, accompagnés par la Moniale Liu et le chevaucheur de griffon Forwar furent notre force de frappe en avant garde pour parvenir à notre avant-dernière expédition. La forêt semblait calme, malgré le rouge étouffant de la destruction de l'Arbre-Monde, se crime nous dévastant quelque soit le lieu. Le première soucis de voyage fut la rencontre avec un Sabre de nuit, lié visiblement à un druide, portant un collier avec une inscription. La bête était malheureusement sur le point de mourir, il n'y avait aucune chance de la sauver, mais le problème fut le collier qui éclata non loin de Lyndell après l'avoir prit. Dans une sorte de force d'une intensité rouge presque huileuse, c'était indescriptible. Laissant le repos par chamanisme en guidant son esprit, nous avons poursuivit en protégeant un Hippogriffe dont la maitresse était morte, la panique s'emparant de la bête isolée. C'est avec cette magnifique créature dévastée par le chagrin, que nous avons poursuivit en arrivant jusqu'aux ruines où Odoh était censé être installé : En pleine état de siège.

Un Ancien était installé devant, dans un état semblant végétatif. Ne bougeant plus d'un pouce, fixé par le sorcier-docteur Troll qui l'inspectait. Des lanceurs de hache en nombre, sous la surveillance d'un Chaman Sombrelance, envoyait leurs armes vers les treants défendant les lieux. Qui avait bien pu faire découvrir à la Horde le retour d'Odoh dans de tels ruines ? C'était bien le problème, et la réponse était vraiment obscure. S'occupant de venir en aide à nos alliés, nous nous sommes rués vers les Trolls pour créer une diversion à nos spécialistes – L’assassinat du Sorcier Docteur et la prise du Lance-glaive captif par les Orcs, devenait une nécessité absolue, et nous nous sommes écrasés sur les Trolls dans un cri de guerre, en profitant de l'inattendu. Ils furent prit à revers, ce qui nous donna un avantage comblé par la ténacité des combattants qui nous firent une rude opposition. Les coups étaient partagés, pendant que les cors de combats de la 4ème Légion sifflaient la charge, les fantassins se ruant vers le champs de bataille sous le sifflement des archères désespérés, et envieuses de fuir et de parvenir enfin à arracher une maigre victoire dans ce flot de défaite. Après quelques difficultés, les trolls furent massacrés sans laissé de survivant cette fois. On ne pouvait plus s'accorder un tel luxe, et le Sorcier-Docteur fut arraché en plusieurs pièces par l'Hydre vorace de Sen'dyl. Tout semblait en place pour profiter d'une victoire rapide et efficace, mais c'était sans compté notre inattention et notre volonté à enfin trouver de l'aide. Je mettais ça sur le compte de la fatigue, mentale et physique, mais nous avons insister pour que l'Ancien Protecteur inactif depuis le début s'éveille, et nous parle. Il fallait le faire se mouvoir, il fallait parvenir à le comprendre à parler avec. Il fallait l'envoyer se battre, alors que sans le savoir, il luttait déjà énormément intérieurement pour empêcher le mal profond de le dévorer. Il était souillé par le Cauchemars, cette force écœurante, nid du pouvoir de Xavius jusqu'à ce qu'il soit vaincu par les défenseurs du Rêve, ne laissant que les stigmates de sa corruption qui devant nos yeux, transformèrent le Gardien en créature du cauchemars hideuse, le bois couvert de strie d'un rouge profond, mais Liu avait flairé les problèmes, et se préparait à y réagir. Tirant brusquement au lance-glaive dans le dos de l'entité qui avait remplacé le noble gardien qui nous faisait face un instant plut tôt, il s'écrasa sur l'avant en rugissant par la corruption le condamnation. Les éclairs foudroyant et la magie se mêlèrent aux armes pour parvenir à le mettre à bas, ce qui fut fait, dans un terrible et difficile effort. Nous étions là, tous ensemble avec nos blessés, fixant avec lassitude ce gardien de la Nature qui aurait pu être un allié de valeur, et nous avions forcé son éveil en brisant son combat intérieur. Il fut souillé, mais il était temps de découvrir quel pouvait être cette source de la corruption. Abandonnant les morts, les druides dévastés par l'assaut inattendu de la Horde ayant découvert cette intention de la dernière chance, nous nous sommes dès lors confrontés au cœur du problème.

Les guerriers de la Horde, brutalisaient les défenseuses elfiques survivantes en ricanant grassement, sous le regard désapprobateur du vieux Loup-de-givre qui en avait visiblement assez de tout ça. Tout cela, en couvrant le Prêtre des ombres Réprouvés, encerclés de ses cavaliers de la Nécrogarde se heurtant au Druide Cirmo. Le vieux Douxfeuillage est un druide très puissant, mais il avait l'air déstabilisé et brisé par un combat interne, ce qui le rendit inefficace malgré les pertes qu'il infligea à ses adversaires, avant de succomber lui même aux forces mentales provoqués par le Prêtre obscure qui se gaussait de son désespoirs, des feux-follets paniquant proche essayant d'empêché une source de corruption de continuer à apparaitre, à partir d'une sorte de totem. Mais Cirmo était en danger, c'était notre priorité et nous nous sommes rués à son aide brusquement, tirant nos armes en espérant parvenir à le sauver. Ce qui fut le cas par l'aide de Gazim et Sen'dyl, dont les tirs furent d'une aide précieuse pendant que Lyndell et moi bloquions les Grunts en permettant le massacre des Réprouvés, nos camarades étaient toujours aussi haineux vis à vis leurs incarnations et si certains méritaient bien d'être détruit, c'était eux. Lentement, le champs de bataille autours de nous s'apaisa à la mort de la plus part de nos adversaires, surtout après que Forwar ait parvenu à faire fonctionner le déchiqueteur gobelin qui arpentait les lieux avec la candeur d'un enfant découvrant un nouveau jouet parfaitement fou comme les Gobelins le font toujours de leurs outillages instinctifs. Le seul coup dur était pour Lyndell, qui avait rallié des survivants, et s'occupait d'une Kaldorei qui avait eue le malheurs d'être là au mauvais moment – Un Grunt l'attrapa pour la soulevé et en faire un bouclier vivant qui se planta dans le ventre de la pauvre Sent- Non. Ce n'était même pas une Sentinelle, c'était une simple habitante de ses terres, et elle fut tuée de la pire façons. Sacha fit de son mieux pour la secourir, mais ce fut vain, elle était perdue. Dans la ruine, Cirmo blessé et le Loup-de-givre, du nom de Drangar, firent l'affirmation qu'un tauren du Cercle Cénarien avait fini par perdre la raison à cause des Réprouvés, complètement dévasté mentalement par les derniers évènements, il s'était laissé convaincre que sans la présence de Xavius il était possible de faire usage du Cauchemar comme d'une force alternative, et cela le brisa, complètement. Il souffrait, rugissait de douleur violence, complètement perdu. Il fallait arrêté son processus pour permettre à Odoh de s'incarner en ce monde, et empêché l'étendu du cauchemars de parvenir à ses fins. Sacrifiant la Machine gobeline et nous protégeant par les bienfaits de la Nature, par le soutiens de Cirmo, nous avons pour descendre vers les ruines, nous attendant au pire.

Et le Pire vint, le Tauren s'était muté en une créature sans jambe errante au dessus des flots, une langue pendouillante et tout l’attrait d'une des pires aberrations de ce monde. Rien que la route était un musée des horreurs – De nombreux Réprouvés et quelques druides étaient massacrés, incrustés dans les murs en des visages d’effroi, quelques treants dévastés par le cauchemars étalés ici et là. L'Orc se retourna pour affronter les treants se redressant, assurant nos arrières, pendant que nous nous ruons vers l'aberration écœurante qu'était devenu le Druide dévasté par les énergies chaotique. C'était une des épreuves de vues les plus affreuses à supporter, car il y avait tout à craindre dans ce monstre de plus horrifiant que la Horde en elle même. Ce n'était pas une entité d'une guerre, c'était une entité du carnage et de la folie. Deux sortes de séides semblaient extérieur à cette réalité, renforçant, la rendant invincible, prompt à ne pas recevoir nos coups, mais il y avait un avantage : Odoh. L'esprit du Gardien du Bosquet apparaissait comme une petite sphère verte, que le Tauren avait décidé de détruire avec le Cauchemars pour la cause de la Horde, quand les Réprouvés finirent de le transformer en boule de rejet et de haine. Il voyait l'obscurité du Pouvoir qu'il incarnait, et si l'équilibre devait périr, ce serait pour la Horde. Et il fut submerger par cette ambition. Dévasté par les énergies chaotique, cela finirait par s'éteindre et il fallait s'en occuper. Acceptant l'aide d'Odoh, Hegins – Souffle-Soleil – Sen'dyl et Liu s'endormirent en laissant leurs esprits apparaitre en un simulacre de ce monde de manière bien plus terne, affreuses, pour y détruire les protecteurs malsains qui protégeait les restes du Tauren que nous affrontions de face avec Gazim et Forwar. L'intervention de Lyndell apparut comme une bénédiction, après un terrible affrontement, les séides avaient été détruit et les nôtres pas encore retournés dans leurs corps endormi dans des coins de la salle trempée. Les feu-follets tournoyant auprès de Sacha qui avait détruit la source de la contamination qu'affrontaient les feu-follet au dessus des ruines, ceux ci accompagnèrent sa lame quitte à provoquer leur sacrifice, leur destruction. C'est dans un fabuleux fracas que la chose s'étouffa, se noyant dans les eaux qui d'un noir s'infusa. L'obscurité gagna tout, et nous étouffait, nous enlaçait. Des Réprouvés parvenant jusqu'à nous pour en finir en bonne fois pour tout en profitant de l'occasion que tout l’unité soit attrapée par cette sorte de liquidité huileuse et abominable. Mais dans une lueur stellaire, ils furent massacrés par la splendeur de cette apparition : Le Gardien du Bosquet Odoh nous fit face, et la nature reprit son règne : Les parois rocheuses furent couvertes d'herbes fraiches, les chants des feu-follets et des dragon-fae ondulant en quittant le rêve émeraude dans une candeur vivace. Il était là, et ses forces aussi. Tout les Réfugiés furent installés dans la vieille ruine perdue devenue sanctuaire au cœur de ce lieu vaincu par la Horde. La victoire et notre survie fut arraché à la peur et à ce traumatisme.

Ce traumatisme d'être arrivé à la fin de notre vie, qui brutalisa mentalement chacun de nous. Nous étions tremblant, dévasté par ce sentiment d'avoir du subir autant de pression sur les épaules, mais il ne restait qu'une seule étape pour ce genre de ce charnier. Si demain noir, l'opération est un triomphe, nous arracherions un peu de Vie des griffes de la mort. Et pourront enfin trouver un véritable repos réparateur, en sachant que des Wyvernes roderaient dans les cieux, mais avec les dernières informations de Finegann sur les expériences Réprouvés, je gardais tout de même mon Masque à gaz pas loin de moi."

- Eïffy Aubéclat.
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Lun 6 Aoû - 4:27
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Quarante-et-unième entrée – Sombrivage, front de bataille contre la Horde.

"Notre ultime objectif. C'est dans un confort agréable dans l'âtre d'une chaumière que j'écris ce rapport, mais il est difficile de se plonger de nouveau dans ce qui fut produit par la violence de cette bataille. Toutes les images revenant à l'esprit sont dur à encaissé, la panique, la peur. Ce vaste déploiement sur le front avait été le pire pour l'Unité Fordragon, et plusieurs n'en reviendraient pas vivant. Reprenant là où nous en étions, le sanctuaire de la nature disparaissait lentement sous l'absence de maintient du Gardien du Bosquet Odoh préparant ses forces pour l'invasion du camp des prisonniers de la Horde au nord, sous le commandement du Garde de Sang Ordrash, toujours et encore ce même porc bien désireux de nous mettre la main dessus depuis la fuite de la Grève de Zoram. L'herbe douce devint molle et fébrile, et le confort devenait puant et désagréable, en cette terre conquise, tout était malheureusement dans cet état. Dévasté, morne, mort. Les troupes restantes de la 4ème Légion était installé au dessus des ruines en aiguisant leurs épées, et priant. Eux, et les Sentinelles, adressaient leurs espoirs envers les croyances réconfortables qui les guiderait pour sauver les vies que nous étions sur le point de retrouver, tout en protégeant la leur de la haine de la Horde. Hélas, beaucoup périraient encore dans l'exercice du devoir, fuir aurait un fort prix en récupérant les prisonniers. Le plan était simple, droit, et sans préamblule : Avec la puissance du Gardien du Bosquet, nous profiterons de la déstabilisation de la Horde pour passer outre leurs défenses, atteindre les prisonniers, et libérer tout le monde au possible en laissant un portail du Vide ouvrir l'accès pour notre ultime retraite. C'était le plan de la dernière chance, et cela faisait trois jours que Maladriel nous préparait cette sortie à Telogrus, si tout se passait bien, nous arriverions dans un recoin isolé par les chercheurs dans l'Ambassade de Hurlevent. En sécurité. Les fantassins Winford, Shyfern, Hegins, Gaslin, Redmayne, Mentell avec la Caporale Lyndell. Accompagnés de la Ranger Souffle-Soleil, du Chevaucheur de griffon Forwar et de la Moniale Liu, formaient ensemble avec moi le fer de lance de notre force de survie pour s'échapper de la défaite de Sombrivage. J'avais une dernière pensée pour la 14ème Brigade et ceux que j'y avais apprécier, en espérant qu'ils s'en sortiraient eux aussi en espérant que cette frappe désespérée leur donnerait un peu de répits. Le voyage fut long, morne et épuisant alors que nous n'étions même pas encore en place, le moral avait beaucoup de mal à se rehaussé ne serais-ce qu'un peu à cause du désastre de la situation. Alden fut brisé par le contact d'un Feu-follet qui lui transmit involontairement ses émotions, sa douleur, sa peur de la situation, ce qui fit légèrement descendre encore le moral qui nous pesait déjà grandement, en cet environnement bien différent. Il n'y avait plus d'arbres, des rondins et des troncs dévastés, un corps de Gobelin avec un cristal d'Azerite à l'intérieur fut découvert tout comme nombreux champs de bataille abandonné. Jusqu'à parvenir finalement aux portes du Camp de guerre.

Ils nous avaient vu arriver par leurs archers sur les tours, alertant la venue au Garde de Sang qui nous attendait avec ses troupes nous dépassant largement en nombre. Des rires et des rugissements furent propulsés tant ils trouvaient nos actions vaines. La tête d'une Kaldorei roulait vers notre formation, fraichement décapitée en guise d'exemple, mais nous ne pouvions plus reculé. Il était temps, et la bataille débuta par des flots de tirs des catapultes fusant vers nous. Nous ruant à travers les flammes, Hegins s'écrasant en étant secourue par Liu, et plusieurs fantassins ne survivent pas dans ce premier tir puissant s'écrasant sur nos lignes. Les arrières des archères défendant les civils déjà avec nous, qui avaient l'impression de se jeter dans la gueule du loup petit à petit en nous suivant. Mais il fallait garder un peu d'espoir. Deux Taures en armure massive nous attendaient, le choc des boucliers furent immense pendant que les cieux se couvraient de la tempête convoquée par les deux Chamans sur les tours, donc les archers se déchainèrent. Un démolisseur était installé pour parvenir à nous tirer dessus brutalement quand on serait suffisamment accumulés sur leurs défenses pour nous massacrer en nombre à bout pourtant. Quel misère, quel chaos. Un des taurens ne parvint pas à garder le rythme et fut massacré, brisant le piège du démolisseur qui se pressa de se mettre en position de tir pendant que Frankk et Sacha empêchèrent ce tir désastreux. Une des tours fut dévasté par leur propre orage, les flammes de Liu, et les efforts de Forwar à détourné la foudre de cette tempête fit un tel ravage que le son du bois brisé et calciné couvrit les hurlements et les bruits des armes de la bataille actuelle. Le feu montait, les corps chutaient déjà, notre progression était désespérée et inégale. On ne pouvait clairement pas l'emporter seul, mais là était l'astuce : Nous n'étions pas seul. J'étais attristée par tout ceux perdu avant l'intervention du Gardien du Bosquet, mais la lueur stellaire s'écrasa brusquement sur le Réprouvé levant sa fiole de peste, lui et son poison disparaissant dans la force de la nature, pendant que Dryades, et autres esprits protecteurs du Rêve, firent d'un coup surface pour s'en prendre aux combattants de la Horde. La nature refit surface, et la bataille trouva un espoir d'atteindre les cages des prisonniers. Nous étions en train de trouver notre brèche, pendant que le démolisseur fut utilisé pour tirer sur l'abomination qui escortait l'apothicaire. La dévastation de la bataille gagnait de plus en plus en ampleur, et nous laissons l'arrière garde sous le commandement de Lyndell pendant que j’entamais la charge vers les cages installés en contre-bas dans une sorte de lieu morbide, et les tentatives des Réprouvés, l'étaient encore plus. Des flèches fusèrent, des sorts étaient partagés, et la douleur gagnait nos corps fatigués.

Sur l'arrière-garde, le combat contre les derniers archers de la Tour survivante se partageaient avec les présents, jusqu'à ce que les Aigles décolèrent en étaient menés par le Tauren aux bois d'Elan, ceux de Haut-Roc, qui s'était retrouvé ici à son grand désarroi visible, mais avec son attitude au moins guerrière pour sa nouvelle bannière. La Horde se reformait, progressait, et marchait avec les survivants fuyant vers le cœur du camp de guerre en récoltant ce qu'ils pouvaient, essayant de récupérer quelques corps au possible – Rien ne devait être laissé autres les griffes des Réprouvés, envoyant des billes de feu sur certains cadavres. Pour ne pas qu'ils soient relevés, d'une quelconque façons. Aux cages, les Réprouvés défendaient l'accès, comme le suggérait Finegann, les Apothicaires préparait quelques expériences sur les présents en étant soutenu par la présence d'un Sin'dorei, accepté par la non-vie d'un état de Chevalier de la mort, veillant sur un rituel impie, ses goules errantes en servant de perfides séides comme une pâle copie d'un lieu de travail du Fléau. Les Nécrogardes protégeaient l'accès au passage, levant leurs pavois sur lequel nous nous sommes cognés avec force, Redmayne, Drekhus et moi, formant la ligne de front face à trois fois plus d'ennemi. C'était notre moment où il fallait agir avec puissance, et je me retrouvais une nouvelle fois avec deux camarades très proches, aux coudes à coudes. Les épées, les lances, se heurtèrent à l'acier en se soutenant face au surnombre. C'était un combat que je n'avais pas vécu depuis longtemps, et ironiquement, malgré la douleur, la peur, le doute. Je me sentais plus vivante que tout ses temps de repos dans les sanctuaires isolés. Il était temps de rendre tout ce que nous avons vécu depuis des semaines, il était temps de mérité notre survie. Le Prix de la Liberté serait au goût du sang et au son des armes. Liu, Souffle-Soleil et Hegins contournèrent pour empêché les Réprouvés de mené leurs réussites vicieuses pendant que Forwar soutenait le combat aérien dans un échos de la foudre et du vent. Le Sin'dorei terrifiant semblait pouvoir imposé rien qu'à lui seul une pression si grandiose qu'il aurait été vain de croire pouvoir le vaincre, mais la lance d'Hegins s'écrasant dans son visage. Le transperçant jusqu'au bout de la pointe, parvenant à abattre ce damné en évitant un carnage. Pour Hegins, cette bataille fut preuve qu'elle avait l'étincelle pour devenir un soldat d'élite de notre Légion. Les civils étaient sorti des cages et évacués par un transfert court épuisant dépensant toutes les réserves d'énergies magiques de Souffle-Soleil pour les envoyés auprès des autres fuyant vers l'intérieur du campement qui était en bataille globale. Odoh ne tiendrai surement plus beaucoup, et nous nous sommes repliés quand le dernier Réprouvé fit éclaté une fiole remplie d'Azerite qui le désintégra presque, lui et son expérience ressemblant à un limon de chair flasque. Le Cor de retraite résonnait. Il fallait partir.

Quelques civils furent malheureusement happés par le fracas de l'Azerite, et plusieurs étaient encore dans des cages bien loin de l'enclos où tout le monde avait été sorti. Plusieurs cages furent ouvertes pendant la retraite générale, mais certaines furent abandonnés. Nous n'étions simplement pas capable de sauver tout le monde, c'était impossible. Je croisais un regard perdu, au loin recroquevillé dans sa cage derrière la masse de la Horde ondulant et hurlante qui reprenait l'initiative, nous l'arrachait, et je n'avais rien à lui offrir. Puisse Elune protéger les vies que nous n'avons pas pu secourir, mais la plus part se ruaient vers le lieu où le Portail allait s'ouvrir. Mais le malheurs et notre défaite était inévitable : Le Gardien du Bosquet Odoh avait été vaincu. Par les efforts de Shyfern, il empêcha le Garde de Sang Ordrash de mettre terme à la vie du Gardien qui se réfugia avec ses esprits dans le Rêve de nouveau, disparaissant en ne laissant que les flammes, et le désastre. Gaslin observant le regard de la vieille orc et son enfant, les guérisseurs qu'il avait épargné, laissé en vie dans la fureur du conflit. Nous sentions une certaine justice de notre cause : Battre, sans être Bourreau. Odoh avait disparut, et tout espoir de survivre bien longtemps, mais en employant le signal désigné, le portail du vide éclata brutalement derrière nous, bien plus grand que ceux habituel, et encore beaucoup. Beaucoup plus stable, si bien que même la Gardienne des Failles Amielda tomba dans les vapes face au pouvoir déployé pour mettre en sécurité correctement des citadins en les renvoyant à Hurlevent. En un sens, une poussée de fierté me poussa un peu l'épaule. Je m'étais engagée pour accomplir mon devoir, et essayer d'aider les efforts de l'acceptation des érudits de Telogrus dans cette vaste Alliance, et cette opération de sauvetage fut une opportunité pour le faire. Mais c'était notre devoir avant tout, et nous étions sur le point de défendre ultimement le portail traversé par les citoyens, légèrement bousculés par les Sentinelles à cause de la réticence naturelle des personnes simples, et encore plus très pieuse envers la Déesse-Lune, de sauter dans le Vide. Littéralement. Les combats éclataient, et je regardais avec désespoirs la vague de la Horde sortir de la brume factice créer par Forwar pour nous laisser un peu de temps. Un peu de temps, il nous fallait du temps, Drekhus et Liu sortant avec des prisonniers des cages sur les côtés, tous luttant – Et ce là que j'ai vu la hache du Garde de Sang s'écraser sur mon armure. Je m'écrasais brutalement par terre, sur le dos. Le sang coulant sur mon tabard, et la douleur fulgurante faillit me faire tomber dans les pommes, les murmures me tambourinaient l'esprit de proposition de pouvoir pour lui faire payer ça, je me concentrais à les chassé pour écarté toutes les fausses promesses en l'observant progresser en avant. Il était la bête de guerre qui avait vaincu Odoh, il était le combattant déchainait qui repoussait nos guerriers. Il était celui qui voulait notre tête, jusqu'à ce que la sienne cède. Après un terrible combat, il s'écroula au sol, mort. Après tout ce qui à été subit, la vision de son cadavre sombrant dans le flot de guerrier fut le dernier avant de tous disparaitre à travers le vide. Pour être projeté et basculé dans tout les sens une fraction de seconde, avant de nous retrouver à l'Ambassade de Hurlevent au milieu des clercs, des Druides, du repos tant attendu.

Les soins furent urgents, et prioritaires, et je ne trouvais toujours pas les mots pour décrire mon sentiment d'être étalée dans l'herbe à côté des champs. Les réfugiés sont nombres, des tentes de fortunes et autres recoins de rationnement étant ouvert ici et là, je respirais doucement en gérant la douleur de ma blessure, rapidement récupéré par Lyndell pour aller me guérir. C'était fini, tout ce temps passé dans les terres elfiques à fuir, combattre en vain, sauver quelques vies. C'était fini, la victoire de la Horde restait totale, Teldrassil était détruite, et nous avions seulement pu sauver le plus de vie possible en perdant certains des nôtres. Installé au coin du feu de ma chambre de repos au quartier-général, je n'ai qu'une interrogation pour l'avenir : Et maintenant. Comment l'Alliance va t-elle réagir face à ce nouveau crime de guerre ?"

- Eïffy Aubéclat.
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